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Nouveautés du Glossaire (39)




Suite de Nouveautés du Glossaire (38)





Mots définis entre le 17 Juillet 1999 et le 18 Juillet 1999





Edmond Rostand . (a) Edmond Eugène Alexis Rostand est né à Marseille le 1 er Avril 1868. Il épouse Rosemonde Étiennette Gérard (“Aujourd’hui plus qu’hier, mais bien moins que demain”) en 1890. Il est mort à Paris le 2 Décembre 1918.

(b) Poète (“Les Musardises”, 1890), avocat et auteur de théâtre, il est resté avant tout l’auteur du merveilleux Cyrano de Bergerac (1897). Le Bergerac (78470) d’où venait Cyrano se trouve en Vallée de Chevreuse (filmé dans le feuilleton télévisé “Châteauvallon”) et non pas aux pays des Cadets de Gascogne (24100). Autrement dit, Cyrano n’était pas plus gascon que Christian de Neuvillette . Par contre, Rostand, malade de pneumonie, était une célébrité de Cambo-les-Bains (64250) quand il fut admis à l’Académie Française en 1901.

(c) “L’Aiglon” (le duc de Reichstadt, fils de Napoléon Bonaparte et de Marie-Louise d’Autriche), créé par Sarah Bernhardt le 15 mars 1900, a laissé quelques morceaux de bravoure du grognard Flambeau (“Et nous, les petits, les obscurs, les sans grades, ...”) dans les citations et les déclamations françaises. Il a fait connaître la vie de la danseuse Franziska Elssler (1810-1884) dite Fanny. Il inspira Arthur Honneger (1892-1955) et Jacques Ibert (1890-1962) en 1937.

(c) “Chantecler” (1910) eut moins de succès. L’Ode à la musique de 1890 est encore moins connue.

(d) Une oeuvre posthume, “La Dernière Nuit de don Juan” (1921) apporte un éclairage particulier sur ce séducteur. Car l’auteur ce Cyrano avait de quoi dire sur Don Juan .

Voir Amour de l’absent . Amour de l’absence . Absence de l’amour . Séduction. Séduction masculine . Honoré d’Urfé . Diane de Châteaumorand .


Flambeau. (a) Jean-Pierre Séraphin Flambeau (joué par Lucien Guitry, en 1900) est un grognard de La Garde de Napoléon. Cet homme qui <<ne s’est battu que pour la gloire et pour des prunes>> voudrait pourtant rétablir l’Empire. A Schoenbrunn où, grâce à de faux-papiers, il a réussi à s’introduire auprès de “L’Aiglon”, il a le panache de monter la garde non en habit de laquais Autrichien, mais en uniforme de l’Empire.

(b) Le Belge Hergé (R.G., Georges Rémi, 1907-1983), l’auteur de “Tintin”, qui n’avait pas les mêmes raisons qu’ Edmond Rostand (1868-1918) d’admirer Napoléon Bonaparte, a fait de Jean-Pierre Séraphin Flambeau un Séraphin Lampion, bavard (comme Cyrano), vantard (comme Chantecler) et envahissant (comme l’empereur) auprès du Capitaine Haddock à Moulinsart.


Franziska Elssler . (a) La danseuse Franziska Elssler (1810-1884), dite Fanny, nous est connue par le rôle d’historienne qu’elle joue auprès de Napoléon II, duc de Reichstadt, le fils de Napoléon Bonaparte et de Marie-Louise d’Autriche dans “L’Aiglon” (1900) d’ Edmond Rostand .

(b) Elle a visiblement été une Muse ou une inspiration pour Théophile Gautier (1811-1872). Dans sa passion (amour exclusif ), il l’opposait à Mlle Taglioni.

(c) Dans sa réelle carrière de danseuse (“La Tempête”, 1834, “Don Juan”, “Le Diable boiteux”, 1836, “La Fille du Danube”, 1838, “La Tarentule”, 1839, “La Gitana”, 1840, “La Gipsy”, 1842, “Faust”, 1851), Franziska Elssler n’aimait pas ces rivalités inutiles. Bien que danseuse de ballet, elle refusa de se livrer à une joute pour la reconnaissance , le “Pas de quatre”, sur une chorégraphie de Perrot, à Londres, en 1845.


Chapitre de Leigneux . texte. (a) Aux alentours de Sail-sous-Couzan (42890, la patrie d’Aimé Jacquet) et de la Bastie d’Urfé (les regrets d’ Honoré d’Urfé ) Leigneux (Boën, 42130) existe depuis l’époque romaine.

(b) Vers 1050, sainte Albane fonda un prieuré de bénédictines. L’église, du XI ème siècle témoigne de cette époque. La sainte locale y est enterrée.

(c) En 1748, la réaction nobiliaire fait sentir ses effets dans l’Église. Le haut et le bas clergé ne font pas partie du même monde. Le prieuré de Leigneux devint le Chapitre de Leigneux . Il est réservé aux dames de la noblesse . Chaque chanoinesse avait son hôtel particulier reconnaissable à ses armoiries. On peut se faire une idée des mondanités de ces dames en regardant le dernier acte du Cyrano de Bergerac d’ Edmond Rostand . Le Comte de Guiche , maintenant duc, vient rendre visite à Roxane. Les communs et la basse cour étaient au service de toutes. En 1332, l’ Inquisition en aurait tiré prétexte pour obtenir le témoignage des filles de basse cour contre les chanoinesses. L’intérieur de l’église a été remanié dans le style de ce XVIII ème siècle.

Voir Jean de Brünn . Dolciniens. Apostoliques. Amauriciens. Béguinage. Filles d’Udyllinde . Eloi Pruystinck . Cathares.


Les Écuries d’Augias . (a) Nettoyer les écuries du roi Augias est un des 12 Travaux d’Héraclès . Pour cela, il détourna ni plus ni moins le cours d’un fleuve pour le faire couler dans les écuries.

(b) Henri Pourrat nous explique que les habitants des Monts du Forez et de Limagne font de même dans les burons ou les jas de leurs jasseries.

(c) On peut voir un béal et une vanne rudimentaire, prévus à cet effet, au lieu-dit Les Chambons près de Roche-en-Forez.


Anne-Dauphine. texte. (a) Anne-Dauphine d’Auvergne, duchesse de Bourbon et comtesse de Forez est la fille de Jeanne de Forez (1337-1359) et de Béraud II, dauphin d’Auvergne. La mort de son oncle Louis I er (né en 1338), Comte de Forez (depuis 1358) à la bataille de Brignais en 1362, la blessure et la perte de raison de son autre oncle Jean II (343-1372) fait d’elle une héritière et l’incite à épouser Louis II duc de Bourbon, déjà nommé régent de Forez.

(b) A la mort de son mari en 1410 et jusqu’à sa propre mort en 1447, elle administrera le Comté de Forez.

(c) <<Anne-Dauphine, duchesse de Bourbon, comtesse de Forez, sort de son oratoire de saint-Bonnet-le-Chatiau en l’an 1403>> est le titre d’un vitrail de l’église collégiale de Saint-Bonnet-le-Château.


Accrétion. Terme de géologie. (a) L’accrétion désigne un accroissement de la masse par ajout de matière, par agglomération.

(b) La croûte océanique basaltique de certaines fosses océaniques se renouvelle par l’accrétion de lave volcanique qui se refroidit en basalte. Ceci se passe au milieu de chaque océan, le long des rifts médio-océaniques. Ces rifts forment un réseau de dépressions de 4 000 mètres de profondeur en moyenne. Ils sont le moteur de l’ expansion des océans , de la subduction des plaques océaniques et de la dérive des continents qu’étudie la tectonique des plaques .

(c) L’accrétion sous-marine des rifts et celle des coulées de lave dans les volcans continentaux sont le mécanisme complémentaire de l’ érosion hydraulique ou de l’érosion éolienne qui se déroulent sur les continents.

(d) Avec l’accrétion et l’ érosion, nous avons deux sources (l’une tellurique et l’autre météorique) de la vie sur la Terre. Leur point de rencontre est le littoral de la mer.


Confluence. (a) La confluence est le fait que et le lieu où un ruisseau tributaire se jette dans une rivière. À moins que ce ne soit une rivière qui se jette dans un fleuve. A cette occasion, l’affluent perd son nom et verse son débit comme le tribut de sa soumission. C’est sous un autre nom qu’il ira se jeter dans la mer.

(b) La confluence semble avoir servi de modèle au mariage. La femme apporte son trousseau et sa dot. Elle laisse son nom de jeune fille à son père. Elle porte celui de son mari qui la mènera au statut de mère. Mais comparaison n’est pas raison.

(c) L’expression <se jette> est à prendre à la lettre. Quand un affluent se jette dans un cours d’eau plus important, il a moins creusé son lit que ne l’a fait celui dans le lit duquel il se jette. Dans certains cas, aucun ne semble se jeter dans le lit de l’autre. Ce n’est qu’une apparence. Dans la plaine du Forez , la Vizézy se jette dans le Lignon qui se jette dans la Loire. Mais, ensemble, aidés du Bonson, de la Mare, de la Curaize, de l’Aix et de bien d’autres, ils ont accumulé 500 mètres d’épaisseur de sables et de cailloutis arrachés aux Monts du Forez et à ceux du Lyonnais. Alors, ils se prélassent tous dans cette plaine dans laquelle ils se sont constitué un matelas. Cela doit nous rappeler que l’ érosion dont nous constatons les effets est parfois masquée par la sédimentation qui en découle.

(d) Ce sont d’autres indices, beaucoup plus en amont dans les cours des fleuves de leurs rivières et de leurs ruisseaux, qui manifestent cette hiérarchie du débit et de la puissance d’érosion. Dans le paysage de la grange de Drayard , nous avons vu que le Vizézy venait creuser dans la ligne des crêtes du bassin d’alimentation de son tributaire, le Probois. A Essertines-Basses, les alluvions de la plaine n’ayant pas encore remonté si haut dans les gorges du Vizézy, on voit bien que la Trezaillette se jette dans le Vizézy. Quelques kilomètres plus haut, au pied du bois de la Guillanche (711 m), le Probois se jette de même. Toujours plus haut, à 1072 m, dans les prés nommés les Chambons , le ruisseau de Goutte Fière fait beaucoup moins le malin quand il tombe littéralement dans le Vizézy.

(e) S’agissant de la hiérarchie entre le Lignon et le Vizézy, c’est entre leurs tributaires respectifs, le ruisseau de Chorsin et le ruisseau de Goutte Fière, que le conflit se règle. Bénéficiant du travail de la rivière Lignon par l’intermédiaire du ruisseau de Pierre Brune, le ruisseau de Chorsin a beaucoup plus creusé les pentes Ouest de la Roche Gourgon que ne l’a fait le ruisseau de Goutte Fière à l’Est. Ce faisant, la ligne de partage des eaux du Vizézy et du Lignon, qui se situe vers 1050 mètres à la Traverse de Courreau , revient très nettement au Sud, par le ruisseau de Chorsin, quand on remonte à 1340 m aux Jasseries de Gourgon. Pour le comte Guy II de Forez , le Béal Comtal de Garnier qu’il fit creuser vers l’an 1201, visait à réduire les conséquences politiques et militaires possibles de cet état de fait.


Sire. (a) <Sire> a la même origine linguistique que <seigneur>. Sire était le titre de certains seigneurs féodaux. Ce titre était généralement donné aux rois et aux empereurs, fut-ce pour les critiquer:

(b) Certains seigneurs défendaient jalousement leur indépendance. En conséquence ils étaient en marge de la hiérarchie féodale (duc, comte, baron). Quitte à jouer des contradictions féodales , ils tenaient beaucoup à ce titre. C’était le cas des seigneurs de Couzan qui résistèrent aux Comtes de Forez . A Sail-sous-Couzan, un restaurant évoque la mémoire des “Sires de Semur”. Les Damas de Couzan (compagnons de Saint-Louis aux Croisades) étaient d’ailleurs une branche cadette des sires de Beaujeu, tout aussi indépendants.

(c) Dans le nord de Paris, près de Laon (Laudunum), la famille de Coucy avait un château réputé imprenable. Enguerrand de Coucy (1117) fut, avec Ebbes de Roucy (1102) et Thomas de Marle (1130) un des seigneurs pillards d’Île-de-France qui furent ramenés à l’ordre par Louis VI le Gros (vers 108-1137) roi de France (1108-1137) sur les conseils de Suger, l’abbé de Saint-Denis. La devise du sire de Coucy, qui n’avait pas peur de tenir tête au roi, était, en toute simplicité:

Son donjon, de 31 m de diamètre et de 55 m de hauteur, sera pourtant détruit, sur ordre du roi, en 1130.


Inhibition au défrichement . texte. (a) Au XI ème siècle, le rapport entre l’accroissement démographique et l’extension des défrichements est négatif. Ni les communautés villageoises, ni les familles riches (distributions de pain et de vêtements) ne suffisent à maintenir la population des gens sans terre. Ils vont grossir les rangs des mendiants et des prédicateurs comme Pierre l’Ermite ou Robert d’Arbrissel. Certains iront se faire tuer en Hongrie (après avoir massacré les Juifs) ou à Nicée (1096) sur la route de Jérusalem.

(b) Des seigneurs comme Robert de Turlande, auteur de la fondation du prieuré devenu abbaye de La Chaise-Dieu , aborderont de front ce problème. Il serait faux de croire que tous les fondateurs d’abbayes voire d’ordres étaient préoccupés par le sort des pauvres (pauper), des “enfants” (infans) ou des “jeunes”(puer) sans terre ni métier ni titre. C’est pourquoi il est important de comprendre la valeur symbolique des forêts et les inhibitions aux défrichements (essarts, essertines, noailles) et autres formes de déforestation.

(c) Pour les seigneurs, de l’ordre ou de la classe des guerriers, le domaine est le symbole de leur domination sur la nature sauvage. Leurs serfs font plus ou moins partie de cette sauvagerie. C’est tout juste s’ils font partie des humains. Il n’est pas question que les serfs s’approprient une partie de ce territoire par des essarts sauvages. Seuls les seigneurs les parcourent pour des raisons stratégiques ou pour la chasse (Diane). Tout manant trouvé dans les terres sauvages est réputé brigand.

(d) Pour les moines, constituer un monastère dans un désert (La Chartreuse en Dauphiné), c’est répéter, à titre symbolique, le geste divin de La Création . Comme Le Créateur , les moines reproduisent le Fiat Lux qui transforme le chaos païen ou satanique en ordre divin. De cet ordre sortiront des richesses agricoles et des bénéfices qui intéressent les grandes familles. Seuls les moines furent de grands défricheurs légaux. Mais ils n’avaient pas tous comme objectif de fournir des lieux, des moyens, des occasions et des objets de travail à des pauvres souffrant de l’ exclusion.

(e) Dans les Monts du Forez , sur le cours du Vizézy qui descend dans la Plaine du Forez à Montbrison, sur les soixante neuf moulins du Vizézy , le Moulin Comtal de 1575 a probablement été précédé, aux XIII ème, XIV ème et XV ème siècles par trois moulins monastiques . Leur intégration dans le chaos naturel (barres rocheuses , coulées basaltiques, doubles bras du ruisseau) témoigne du soucis de faire de cette sauvagerie une terre chrétienne (comme à Notre-Dame de l’Hermitage ) et de faire des serfs des Comtes de Forez de bons chrétiens.

(f) Par la suite, l’abolition des privilèges, celle des règlements de corporation et la suppression des banalités provoqueront la construction des soixante neuf moulins du Vizézy . Cette explosion, tardive et vite remplacée (à peine un siècle) par la meunerie industrielle, témoigne de l’encadrement préalable dont les populations rurales étaient désireuses de s’affranchir.

Voir Ouverture de la noblesse . Jeanne d’Arc . Le Chevallard . Parc. Jardin. Clôture.


Trezaillette. texte. (a) Ce ruisseau qui passe à la ferme fortifiée dite Le Chevallard puis à Essertines-en-Chatelneuf, est un tributaire de la rivière Vizézy.

(b) La Trezaillette n’a pas eu à changer son cours lorsque s’est provoqué l’effondrement (graben) de la plaine du Forez et le rehaussement, relatif ou absolu, du horst où elle coulait. De ses sources sous la Petite Pierre Bazanne jusqu’à sa confluence avec le Vizézy, la Trezaillette coule d’Ouest en Est. L’effondrement a confirmé son cours spontané.

(c) La Trezaillette partage cette caractéristique avec le Probois qui descend de la Grande Pierre Bazanne . Ce ruisseau alimente les scieries de Roche-en-Forez.

(d) Au contraire, le Vizézy, le ruisseau de Chorsin et bien d’autres ont progressivement changé de cours pour rejoindre le point le plus bas local que constituait la plaine et le cours de la Loire.


Feurs. texte. (a) Feurs (42110) était la capitale des Ségusiaves, un peuple Celte allié des Éduens et des Romains. Puis elle est devenue la capitale romaine du Forez (Forum Ségusiavorum) avant d’être détruite par les Alamans. C’est elle qui a donné son nom au Forez.

(b) En 15 avant Jésus-Christ fut décidée la construction d’une voie romaine de Lyon (Lugdunum) vers Clermont-Ferrand puis vers la Gaule Aquitaine, passant par Feurs et La Post, près de Noirétable. C’est la route qu’utilisèrent les premiers évangélisateurs dont saint Austremoine au II ème siècle.

(c) Feurs a été supplantée par Montbrison (42600) d’abord lorsque le Comte Artaud II y a construit un château fort, puis lorsque Guy II de Forez en a fait le lieu de résidence des Comtes de Forez .

(d) Feurs est restée la capitale locale locale de l’élevage, de l'entraînement et des courses de chevaux de trot.

Voir Aquae Segetae .


Palais du Té . (a) La Bastie d’Urfé était un vieux château féodal de la plaine du Forez . Retour d’Italie, Claude d’Urfé , qui fut bailly de Forez et ambassadeur de François I er l’a totalement rénové au goût de la Renaissance. Par bien des aspects, il est de la même époque que le palais du Té de Mantoue.

(b) C’est pour Isabelle d’Este, qu’en 1539, son époux, Frédéric Gonzague, duc de Mantoue, fit construire dans ce palais une grotte. C’est là que se trouve sa collection de mille six cent vingt gemmes et pierres précieuses.

(c) Le palais du Té fut décoré par Jules Romain (Giulio Pippi dit Giulio Romano de 1492 ou 1499 à 1546) et Giovanni da Udine (1487-1561). Le duc de Mantoue le fit visiter à Charles Quint. Ses particularités sont: des portraits de chevaux, le trompe-l’oeil de la salle des Géants (1525-1535) et une “ Vénus aux forges de Vulcain” de Jules Romain.





Auteur


Hubert Houdoy

Créé le 14 Octobre 1998





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Mise à jour: 16/07/2003