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Nouveautés du Glossaire (76)
Suite de Nouveautés du Glossaire (75)
Mots définis entre le
8 Octobre 1999 et le 9 Octobre 1999
Col du Béal . texte. (a) À 1390 mètres
d’altitude, entre Chalmazel et Vertolaye, le Col du
Béal permet le passage entre le versant Est
(Ligérien) et le versant Ouest (Auvergnat) des
Monts du Forez . Entre la Roche Courbe (1432 m) et le Peyre
Mayou (1542 m), vous êtes dans le paysage des Hautes
Chaumes (lande à callunes, myrtilles, gentianes, linaigrettes,
pins à crochets, sorbiers). En montant de Chalmazel, vous avez
traversé des vestiges de la hêtraie puis la sapinière qui
lui succède, avant de découvrir les premiers
jas d’estive. Au Col, vers le Nord, une route (D.102)
mène au Brugeron. Au Sud, une route militaire dessert les radars
stratégiques de Pierre-sur-Haute (1634 m). De hauts
poteaux de bois facilitent le travail du chasse-neige. Ils témoignent
de la formation des congères dans ce royaume du vent. Ils servent aussi
de support au lichen des rennes , indice de la pureté
de l’air. Ces deux routes sont le symbole de ce que les Hautes Chaumes
sont une voie de traversée rapide pour les cavaliers (voir
Ruisseau de Chorsin , Béal Comtal ,
Traverse de Courreau , Pierre Bazanne ).
Mais cette voie cavalière est seulement praticable en
été. D’où la revanche des chars à boeufs et
l’intérêt de la voie romaine au plus bas
des cols, le Col de la Croix-de-l’Homme-Mort . Au long
de ces deux routes, s’étirent les jasseries, la
version forézienne des alpages, de Balme ou de la Colombière.
(b) Il est possible de faire halte, de se restaurer, de se documenter
et même de dormir au Refuge du col du Béal (63480,
Saint-Pierre-la-Bourlhonne, réservations au 04.73.95.20.45 ou
04.77.24.81.44).
(c) De nombreux chemins de promenade, de petite
randonnée (PR, en jaune) ou de grande randonnée (GR 3, rouge et
blanc) mènent au Col du Béal. L’un d’eux descend (2
h 30) au Parc de la Droséra à
Jeansagnière. Prévoyez 3 heures pour le retour. Un autre (GR 3)
vous mène au Col de la Loge . Si vous montez à
Pierre-sur-Haute par les remontées de la station de ski, vous rejoignez
le Col du Béal en trois quarts d’heure. Vous redescendez à
la station en une heure.
(d) Le versant Ouest vous réserve de
belles découvertes. Sous la pénéplaine
glaciaire des Hautes Chaumes et sous les Bois de la Richarde qui lui servent
de pilier, le ruisseau de Vertolaye emprunte une ancienne vallée
glaciaire, la vallée du Fossat (le fossé en
franco-provençal). Par la D.40, descendez du col vers
Saint-Pierre-la-Bourlhonne. Prenez la route du Pré Daval (le pré
formé par un ancien lac glaciaire, comblé d’
alluvions, en aval du hameau du Fossat). A La Fortiche, la
route (D.66) enjambe le ruisseau de Vertolaye. Jetez un coup
d’oeil aux anciens moulins à eau. Ils profitent de la
confluence d’un tributaire à
deux branches descendues, l’une du Col du Béal, l’autre du
Col de la Chamboite (ruisseau de la Couarde). Vous trouverez une scierie, un
double béal d’alimentation et un ancien bassin
de retenue. En prenant, au Sud, la route du Col du Chansert, vous passez au
Chalet de la Roche (chiens de traîneau, gîte d’étape
Rando’Plume et Boucle Dore , tel: 04.73.95.23.35). Il
est peu avant les éboulis rocheux et la moraine
glaciaire qui ont produit le Pré Daval. Aux Beaux, la scierie
du Noyer est un reste de l’épopée des moulins, entre 1789
et 1914.
Texte Le Forez en
définitions.
Col de la Loge . texte. (a) Sur la départementale D.101, le Col
de la Loge relie Jeansagnières (Parc de la
Droséra ) à La Chamba. À 1253 mètres
d’altitude, le col est au niveau des sapinières, sous les
Hautes Chaumes .
(b) Venu du Col du
Béal (1390 m), l’itinéraire de Grande
Randonnée du Massif Central, le Gr 3, passe au Col de la Loge. Il
poursuit vers Notre-Dame-de-l’Hermitage. Les
promeneurs, les skieurs de fond, les amateurs de VTT et de véhicules
hippomobiles tous-terrains (les “équimobiles” du Col de la
Loge, Tel. 04.77.97.95.36), fréquentent ce lieu de dépaysement.
(c) On peut joindre la Montagnette (1382 m) au Sud, Chez Badinguet
(1220 m) au Nord, le Col des Placiaux (1153 m) à l’Est, le Vimont
ou le Pic Pelé (1348 m) au Nord-Ouest. Dans les bois, de nombreuses
ruines, dont une nommée < Jas Bitou>,
témoignent de ce que la forêt a repris ses droits après
des périodes d’ essarts et de pastoralisme
d’estive (jasserie).
Loge. texte. (a) Ce
terme est fréquent dans la toponymie du Forez. On
trouve: La Loge (Col de Saint-Thomas, La Valla, Montverdun, Vollore-Montagne),
la Loge Cochardet, la Loge du Puy de Vérines, la Loge Dubost (ruines),
la Loge Pétel, la Loge Neuve, la Loge Roiret, les Logettes, les Loges,
Loge de Beaudon, Loge de Fossat, Loge de la Litte, Loge de Migois (au Col de
la Loge), Loge de Tire-Boeuf, Loge du Fanget, Loge Neuve, . <Loge> vient
du francique <laubja> (l’allemand <Laube> signifie
tonnelle). En 1138, il est utilisé dans le sens <abri des
animaux> et en 1165 dans celui de <local du gardien>.
(b) Dans
la plaine, on trouve généralement une loge dans un
clos, pour ranger les outils. Surtout si ce clos contenait
une vigne. Elle servait alors de logement temporaire au jardinier ou au
vigneron.
(c) En altitude, dans les Monts du Forez ,
la loge est utilisée pour l’activité pastorale. Ce
n’est pas une grange pour le foin. La grange est toujours plus longue
que la loge. Ce n’est pas un jas pour la production de
la fourme en estive. C’est beaucoup plus qu’une
cabane de berger aménagée dans un mur ou un tas de pierres. Sans
être un logis permanent, la loge devait permettre de passer plusieurs
nuits. Sous l’effet de la pression démographique, certaines loges
furent la base d’une nouvelle exploitation agricole. Une ferme
s’installe, mais le nom du lieu-dit reste dans les usages que
l’I.G.N. enregistre. Au Col de la Loge , c’est un
point d’information, un bar, un restaurant, un hébergement, une
location de VTT, de skis de fond, de raquettes à neige et de
véhicules hippomobiles.
(d) Après vous avoir
demandé: <<Je vous les plie ?>>, pour vous proposer
d’emballer vos achats, l’épicière, constate que le
papier journal est insuffisant. Prenant un carton sous son comptoir et mettant
vos emplettes dans celui-ci, elle continue par: <<On va voir si
ça loge.>>. Sinon, on tâchera moyen de faire en sorte que
cela tienne dedans.
(e) On trouve Les Loges-Marquis (50600) près
d’Avranches. En Catalogne et dans les villes italiennes, on trouve des
<lonja> ou “loges de mer. Initialement, c’est un lieu
couvert pour abriter les marchands et faciliter leurs transactions. La loge de
Tortosa fut construite entre 1368 et 1373. Les loges devinrent de splendides
bâtiments utilisés comme Bourses de commerce. Barcelone
construisit sa Lonja au XIV ème siècle. Le même
phénomène existe en Flandre: Maison des Bouchers, Maison des
Brasseurs à Anvers. Les corporations de marchands donnèrent aux
peintres et aux sculpteurs l’occasion de démontrer leur talent
(“La Ronde de Nuit” de Rembrandt Harmenszoon van Rijn, de 1642,
est au Rijksmuseum d’Amsterdam).
Texte Le
Forez en définitions.
Font. texte. (a) Dans le Forez et dans bien
d’autres régions, une <Font> désigne une source
naturelle ou une fontaine aménagée.
(b) Sans
exhaustivité, on trouve: Font du Blanc, Font Fort, Font Froide, Font
Noire, Fontapin, Fontavin, Fontassot, Fontabief, Fontalafin, Fontavard,
Fontbelle, Fontbonne, Fontcuarde, Fontcuberte, Fontfort, Fontguine, Fontlupt,
Fredifont, Jas de la Font, la Font du Cercle, la Font du
Chien, la Fontbonne, la Fontête, les Fontanes, les Fonteilles, les Fonts
Claires. Ajoutons le ruisseau de la Font Dulac et la source de
Fontboine .
(c) Les sources, déesses féminines,
faisaient l’objet d’un culte particulier au
paléolithique. Puis les dieux sont devenus masculins
(Zeus, Dieu, Moloch), au
néolithique. Contrairement à la
Bible (Ancien et Nouveau Testaments), la mythologie
grecque n’a pas effacé ces déesses primordiales
(naïades, Salmacis, nymphes).
(d) Malgré Jupiter, les romains pratiquaient encore des bains
rituels (Aquae Segetae , Sails-les-Bains,
Sails-sous-Couzan, source de Fontboine) dans lesquels ils
voyaient une source de jouvence. La religion chrétienne les a
remplacé par un bain unique, celui du baptême.
Texte Le Forez en définitions.
Granite
du Forez . texte. Terme de
géologie. (a) Le granite des
Monts du Forez est un granite d’
anatexie. Pendant sa migmatisation, il a
assimilé des roches préexistantes (un granite porphyroïque
à La Catésonne, les migmatites
d’Écotay, de Lézigneux ou de
Mérigneux, des roches basiques comme celles du
hameau de Verrières dit Le Vernet ).
(b) Le granite du Forez est un granite calco-alcalin
monzonitique. La monzonite est une roche magmatique riche en
feldspaths. Le granite du Forez contient, en moyenne, 50 à 55 pour cent
de feldspaths (potassiques ou plagioclases), 30 à 35 pour cent de
quartz, 10 à 14 pour cent de biotite (un mica noir).
Il est généralement assez grossier (à gros grains). Sa
décomposition par l’ érosion chimique
donne ce que le parler local nomme le “gore”. On trouve pourtant
de beaux gisements à grains fins (Le Vernet, Moingt).
(c) Tout
le granite du Forez ne s’est pas produit à la même
époque. La plus grande partie date du Sélurien (ère
primaire) entre 440 et 400 millions d’années. Plus ancien, le
gisement de pyroxéno-amphibolite de Saint-Bonnet-le-Courreau date de
700 millions d’années. Il n’a pas été
assimilé par le granite du Forez environnant. Plus jeune, le granite de
la carrière de Fortunières (entre Chazelles-sur-Lavieu et le
Col de la Croix-de-l’Homme-Mort ) serait contemporain
du granite du Velay. Il daterait de 370 millions d’années. Ce
n’est pas au jour près, mais avec plus ou moins 73 millions
d’années, selon M. Vachette, M. Roques et J.P. Couturié.
(d) Pour la plupart abandonnées, les nombreuses petites
carrières des Monts du Forez ont produit, vendu et exporté un
granite qui comptait parmi les ressources monétaires des maîtres
du sol (seigneurs, Comtes du Forez et compagnies à
monopole). Les plus anciennes et les plus importantes se trouvaient aux
alentours de Moingt, de Lézigneux et de
Saint-Thomas-la-Garde. Cela s’explique par les besoins de la ville
romaine d’ Aquae Segetae . En outre, dans ces gisements
de leucogranite à biotite et muscovite, les infatigables
bâtisseurs Gallo-romains trouvaient un grain fin, plus propice à
la décoration des Thermes et de l’Amphithéâtre.
Texte Le Forez en définitions.
Horst forézien . texte. Terme de géologie. (a)
Le horst des Monts du Forez ,
complémentaire du graben de la Plaine du
Forez , ne s’est pas fait en un jour.
(b) Les monts du
Forez et du Lyonnais sont des roches précambriennes (plus de 530
millions d’années). On estime que leur
métamorphisme et leur plissement se
déroulèrent au Briovérien moyen, vers 650 ou 670 millions
d’années. Pendant les mouvements magmatiques et les plissements
montagneux dits calédoniens (entre 420 et 380 millions
d’années) et hercyniens (entre 360 et 290 millions
d’années), s’est formé le granite du
Forez par migmatisation et
anatexie.
(c) Puis, entre le Carbonifère
inférieur (360 millions d’années) et le début du
Trias (250 millions d’années), quand apparaissent les premiers
insectes, mais avant les dinosaures, un soulèvement du Massif Central,
accompagné de plissements, de chevauchements et de fracturations, a
formé le grandes failles. Ainsi s’ébauche le grand horst
des monts du Forez, de la Madeleine et du Livradois. Ainsi se
définissent, de part et d’autre, les cours respectifs de la
Loire et de l’Allier.
(d) Pendant le Secondaire
et même le début du Tertiaire (Paléocène,
Éocène), l’érosion poursuit son travail. Cela dure
220 millions d’années. Le temps de produire une
pénéplaine complexe . Les sédiments sont
emportés plus loin que la Plaine du Forez . Celle-ci
n’était donc pas encore le grand effondrement de
500 mètres de hauteur. Les amateurs d’ammonites devront les
chercher ailleurs ou se contenter de fossiles lacustres.
(e) Pendant
l’ère Tertiaire, à l’Oligocène et au
Miocène, les mouvements Pyrénéens et Alpins sont produits
par la subduction de la plaque africaine sous la plaque européenne.
C’est alors, par contre-coup, que le horst forézien
s’élève. Ainsi se forme le bassin de Montbrison. Les
sédiment de la Plaine du Forez sont essentiellement
d’origine torrentielle (reprise d’érosion
) ou lacustre (végétation et faune).
(f) De nouvelles
failles se forment, tant dans la plaine que dans les monts. Elles sont
responsables des coulées basaltiques et de la
fractalité du horst. Les dernières
éruptions volcaniques ont lieu au Pliocène. Elles ont pour
spectateurs affolés des Primates supérieurs. Mais pas
d’homme à cette époque, entre 5 millions
d’années et 1 million 600 mille ans.
(g)
L’érosion se poursuit pendant tout le Quaternaire. Le
Vizézy et le Lignon déposent leurs alluvions dans la partie
Ouest de la plaine. La Loire s’occupe de remplir la partie Est. Pendant
les grandes glaciations, les glaciers de Pierre-sur-Haute
contribuent à l’ érosion du sommet de la
pénéplaine, au-dessus de 1200 mètres.
Ils laissent des tourbières (comme au Col de
Baracuchet ) et des vallées glaciaires (vallée
du Fossat , vallée du Batifol).
(h) Tous ces mouvements
montrent que l’ orogenèse (la formation des
montagnes) se poursuit pendant l’érosion (leur creusement).
Texte Le Forez en définitions.
Vallée glaciaire . texte. (a) L’ érosion
hydraulique étant aussi vieille que la croûte
terrestre , une vallée glaciaire est une ancienne
vallée fluviale. Le ruisseau , la
rivière ou le fleuve utilisent parfois une faille
tectonique. C’est le cas de la Loire dans la
Plaine du Forez . C’est aussi le cas des ruisseaux de
Vertolaye et de Batifol au Nord et au Sud du Col de la Croix du Fossat.
(b) Les grands mouvements de glaciation n’ont pas pu se produire
dans les premières phases du refroidissement de la Terre ni dans les
périodes où la mer était une soupe chaude. Depuis 4
milliard 500 million d’années, l’
érosion fluviale a produit les matériaux
(alluvions, sédimentation) utiles
à l’émergence de la vie dans les
Océans (plus de 2 milliards d’années). La grande
période de glaciation se situe au cours de l’ère
Quaternaire (moins de 1 million 600 mille ans). Des êtres vivants sont
depuis longtemps sur les continents.
(c) Une vallée glaciaire
est l’élargissement d’une vallée fluviale (forme en
V) par une langue de glace compacte, descendue d’une calotte glaciaire
accumulée sur un sommet.
(d) En usant les bords de la
vallée préalable, le glacier lui donne une forme en U, celle
d’une auge. A Saint-Anthème, la vallée de
l’Ance est une vallée glaciaire. Au Pré Daval, la
vallée du Fossat est un produit des glaciers de
Pierre-sur-Haute .
(e) En poussant devant lui les
produits de l’érosion, le glacier forme une moraine
glaciaire frontale.
Texte Le Forez en
définitions.
Saint-Anthème.
texte. (a) Saint-Anthème (63660) est
situé au coeur du pays de la fourme, à
mi-chemin entre Montbrison (42600) et Ambert
(63600). Pour ne fâcher personne, on y mange autant de fourme de
Montbrison que de fourme d’Ambert. Par contre, dans les restaurant et
les auberges, Henri Pourrat vous conseille de mettre
des bottes .
(b) Entre le Col de la
Croix-de-l’Homme-Mort et le Col des Pradeaux ,
la vallée de l’Ance est une ancienne vallée
glaciaire . Cela ne se remarque pas à des parois verticales.
La couche de glace n’était pas très épaisse. Mais
le fond plat et large de la vallée où l’Ance dessine ses
méandres, témoigne du passage d’une langue glaciaire. Les
glaciers ont raboté des vallons dont la pente était
déjà réduite. Cela résulte de la longueur du cours
de l’Ance, qui se poursuit dans celui de la Loire, pour
rejoindre le graben du Forez . Cet
effondrement est responsable de la reprise
d’érosion . Mais l’ érosion
hydraulique fut moins considérable sur le versant Sud des
Monts du Forez que sur ses versants Est
(Lignon, Vizézy) et Ouest (les
moulins à papier d’Ambert, comme Richard de Bas
, utilisent des chutes provoquées par des pentes raides).
(c)
Quand se sont formés le horst forézien et le
graben ligérien, l’Ance et l’Ancette
avaient déjà creusé leurs lits vers le Sud. Le
débouché était donc plus loin. De leur côté,
pour aller de la Grande Pierre Bazanne ou de la Petite Pierre
Bazanne à la Plaine du Forez , le
Probois, la Trézaillette et le
Vizézy n’y vont pas par quatre chemins. Ils filent plein Est,
tout schuss. Aussi leurs pentes sont-elles plus raides.
(d)
Saint-Anthème est la porte montagneuse du versant Sud des Monts du
Forez. Au paléolithique, ces pentes douces et
ensoleillées ont favorisé la pénétration humaine
de la plaine vers la montagne. Au fur et à mesure du recul des
glaciers, entre 15 000 et 12 000 ans, les cerfs et les sangliers
remplaçaient les rennes et les mammouths. Les chasseurs les suivaient.
(e) Beaucoup plus tard, avec Saint-Clément-de-Valorgue,
Saint-Anthème a connu, comme Moingt et Montbrison, le
“rêve GéGé”.
Aujourd’hui, la ville développe une économie touristique
pour profiter de la richesse de ses paysages.
Texte Le Forez en définitions.
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Créé le 20 Novembre 1998
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