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Des marchés et des métiers:

(2) Villes et Corporations


* Plan

Introduction

1. Etat, villes et corporations

2. Luxe et subsistance

3. La chrétienté

4. Échec de la totalité

5. Clivage des représentations

Conclusion


* Introduction

Le commerce de longue distance a provoqué un élargissement du monde connu. La conquête et le pillage se traduisent par un asservissement différencié et une domination diversifiée entre les régions reliées par ce commerce. C'est dans les pays où la domination est le plus modifiée par la séduction que la production se développe dans un but d'appropriation. La circulation monétaire autorise la percolation des revenus malgré le cloisonnement des trois ordres. C'est donc inconsciemment que s'effectue la découverte du développement. Les villes et les corporations en sont le premier lieu géographique et le premier cadre institutionnel.


* 1. Etat, villes et corporations

L'instauration des corporations et le mouvement communal ne datent pas du XV ème siècle. Dès le X ème en Italie et le XI ème dans le reste de l'Europe, les corporations se développent et, ensemble, par les jurandes, elles administrent les villes selon les chartes octroyées par les seigneurs locaux ou par le roi. A cette époque, il s'agissait de donner un cadre juridique et politique à la ville, sur le modèle des relations féodales (privilèges, juridiction, impôts). Au X ème siècle, les communes restaient une exception dans un monde rural.

Une caractéristique des XV ème et XVI ème siècles est le développement démographique conjoint des villes et des campagnes. Et cette distinction de géographie économique est nouvelle. Le développement des relations marchandes autour des villes crée un commerce de petite distance. Les défrichements (essarts) dans les domaines seigneuriaux s'accompagnent de redevances en nature ou en argent qui permettent ou obligent le colon à vendre une partie de sa production à la ville. Toujours dépendant du seigneur, il choisit sa production et ses techniques en regardant du coté de la ville. D'où la spécialisation des cultures (vivrières, vigne, plantes tinctoriales) et de l'élevage (volailles, ovins, porcins, bovins) alentours. Le paysage européen est fondamentalement remodelé par cette transformation. En Angleterre, le phénomène sera considérable. Le développement de l'élevage des moutons a vidé les campagnes et développé l'artisanat de la laine.

Le réseau des villes est le lieu de rencontre du commerce de proximité et du commerce de longue distance. Il est le premier marché où se confrontent le prix des biens de subsistance et celui des biens de luxe. En simplifiant, en masquant la complexité réelle par des idéaux-types, on peut dire que, en Europe:


* 2. Luxe et subsistance

La marge du commerçant, la réalisation monétaire du produit net féodal et la course au prestige social se jouent dans cet écart complexe entre luxe et subsistance.

Un système complexe, de complémentarité et de compétition, se met en place entre la ville et la campagne, le royaume, ses voisins et ses colonies. C'est la caractéristique et l'ambiguïté du marché.

Pour les marchands, il s'agit de récupérer par la vente de biens de luxe ce que la noblesse avait instauré par la force. D'où une transformation complexe, progressive, perturbatrice.

On sait que Marx aimait voir le rapport (exploitation) sous la différence (plus-value). Comme il serait simple de tout ramener à un taux d'exploitation ou un taux de plus-value! Mais il n'y a pas de substance valeur pour assurer cette traduction directe et bi-univoque. L'économique, le sociologique et l'écologique, mais aussi la physique, la sémantique et la sémiotique se mêlent dans cette transformation complexe. Loin de la réduire, il faut l'analyser dans l'infinie diversité de ses formes concrètes et de ses implications. C'est ainsi que nos discours scientifiques se rejoignent: dans la réappropriation de notre passé, dans la compréhension de notre présent et dans nos projets pour demain.

Or, cet écart entre luxe et subsistance est d'abord un cloisonnement social, une représentation des ordres de la société. Les biens de luxe sont des outils de spectacle. Ils participent à la représentation sociale des décideurs. Pendant que les oligarchies marchandes cherchent à conquérir les symboles de la puissance et de la légitimité ancienne (féodale), elles introduisent une nouvelle logique (marchande) dans les relations politiques. La relation entre la ville et la campagne est à la fois une frontière géographique (synchronique) entre deux cultures et une transition historique (diachronique), un basculement entre deux systèmes d'appropriation: la force armée et la monnaie. Le développement de la production n'est que second par rapport à cette course à l'appropriation des signes d'une puissance fantasmatique. Celle de l'illusion ethnique.

Ce cloisonnement est nouveau dans les villes. Lors du mouvement communal et de la création des corporations (X ème et XI ème siècles), le salariat urbain était peu important. Aux XV ème et XVI ème siècles, l'accroissement démographique des villes et le numerus closus des maîtrises de corporation provoquent une fracture sociale entre les maîtres et leurs compagnons. Les luttes entre marchands et artisans, entre maîtres et ouvriers, en témoignent. En 1539, les ouvriers imprimeurs de Lyon font trois mois de grève. En conséquence, l'ordonnance de Villers-Cotterêts interdit les coalitions de travailleurs. Anvers, Bruges, Gand connaissent de tels affrontements. Parfois, les maîtres ne pratiquent plus leur métier. En 1465, un arrêt du parlement tente d'obliger les membres de la Grande Boucherie à exercer personnellement leur métier. Les compagnons ont de moins en moins de chances de faire leur chef-d'oeuvre et de passer maîtres. C'est alors que se créent les associations secrètes d'artisans compagnons. Par le compagnonnage, les compagnons se transmettent oralement les secrets de leur qualification professionnelle. C'est en 1469 que l'on trouve la première mention écrite du tour de France des compagnons de métiers. Le cloisonnement social n'est pas favorable à la diffusion des techniques. Les compagnons organisent eux-mêmes leur formation professionnelle pour lutter contre une spécialisation et une division extrême du travail. Ce sont eux qui organisent la percolation des connaissances sur le royaume.

Seigneurs et marchands rivalisent de luxe. La course à l'appropriation est le moteur. Mais, au contact de la matière, au bas de la pyramide sociale, artisans et paysans doivent augmenter leur productivité: le rapport du produit sur le temps de travail. Le développement de la production est induit par ceux qui doivent veiller à leur reproduction individuelle. Au contact direct ou indirect de la nature, paysans et artisants dégagent un produit net. Cette situation de dominance globale de la production sur l'appropriation est celle décrite par la Fable des Abeilles.

Plus les relations marchandes pénètrent dans les domaines féodaux, plus le souci de la productivité prend le pas sur les traditions communautaires. Les premières enclosures y participent. C'est sur le terrain que se font les innovations. Elles sont longues à diffuser. Mais, selon les domaines et selon les pays, les acteurs ne sont pas les mêmes. Aux Provinces-Unies, les polders se multiplient. En France, les monastères et les abbayes sont des lieux d'innovation. En Angleterre, et beaucoup plus tard, les gentlemen-farmers seront des innovateurs agricoles. Dans l'ensemble, la noblesse française sera moins dynamique.


* 3. La chrétienté

Dans cette société qui se nomme chrétienté, trois ordres sont maintenus par la domination guerrière, justifiés par un ensemble de représentations religieuses et reproduits par des biens de subsistance, des outils et des biens de luxe. Ne disposant ni de la force militaire ni de la justification religieuse, les marchands n'ont que la puissance financière et la séduction pour tenter de s'intégrer dans l'ordre établi.

La justification religieuse est importante. En Europe de l'Est, dans la péninsule ibérique, mais aussi en Provence (1498), dans le Dauphiné (1466), les Juifs sont expulsés ou persécutés. La religion catholique condamne le prêt à intérêt. Mais, en 1457, nous avons une attestation de l'emploi de la lettre de change comme technique de prêt à intérêt dissimulé.

Deux hiérarchies, l'une rurale, l'autre urbaine, se transforment par leurs relations marchandes et leurs rivalités de prestige. Pendant que le domaine rural se dissout, les corporations urbaines se structurent. Mais villes et campagnes doivent composer avec une hiérarchie du savoir et du conseil qui ne se limite plus aux autorités ecclésiastiques (1478, laïcisation administrative de l'Hôtel-Dieu de Lyon). Les universités, les parlements et les conseillers du roi marquent une laïcisation croissante de l'idéologie et le renforcement de l'appareil d'Etat. Face à un Etat qui réglemente, il faut convaincre, impressionner, séduire, influencer et argumenter. On ne manquera pas d'utiliser l'invention de Gutenberg (1507, Vérard se voit attribuer le premier monopole d'imprimerie en France).

Avec ce que l'on appelle La Renaissance, nous n'avons pas tant la redécouverte des anciens et la fin d'un monde prétendu obscur que l'amorce d'une contradiction croissante au sein du système de justification sociale de la chrétienté. Nous avons une crise du système de représentations.

L'opposition de la domination et de la séduction concerne les modes d'appropriation des seigneurs et des marchands. Mais la contradiction se développe dans toute la société, en mêlant guerre, appropriation et développement. Les Guerres de Religion sont, certes, une forme d'appropriation. Les seigneurs allemands s'attribuent les biens de l'Église catholique. D'autres s'attribuent ceux des Juifs, des Musulmans et des Protestants. Mais les troubles dans les rues (24 Août 1572, massacre de la Saint-Barthélemy) et le trouble dans les esprits viennent d'une crise de la représentation du monde: découverte de l'Amérique, questions sur l'âme des indiens, mais aussi invention de la perspective en peinture et, surtout, "auri sacra fames", fétichisme, fascination pour les opportunités que semblent offrir les relations marchandes.


* 4. Échec de la totalité

La longue période qui sépare le Moyen-Age du capitalisme installé (XIX ème siècle) connaît un échec de la totalisation de l'humanité dans la chrétienté. Bien sûr, la séparation des Églises d'Orient et d'Occident n'est pas nouvelle. Les Croisades, dont la Reconquista marque le début de la période décrite ici, témoignent de l'extériorité du monde Musulman. Les conquêtes coloniales découvrent de nouveaux peuples (Afrique, Amérique) qui n'ont pas reçu la révélation divine. Ce qui pose la question sur son universalité. Mais, plus important, les valeurs de la chrétienté sont peu à peu abandonnées en son sein. Si guerriers, marchands, colons et religieux embarquent dans les mêmes caravelles, leurs comportements dans les terres conquises ne sont pas identiques. L'esclavage ne se cache pas dans les possessions portugaises. Dans les terres espagnoles, le régime de l'encomienda est un esclavage camouflé. Les propriétaires ne cherchent nullement à évangéliser les indiens. Ils entendent les garder comme esclaves. Les plaintes de Montesinos (1511) éveillent la conscience et la vocation de Las Casas. Les rappels de la papauté restent lettres mortes. Les propriétaires finiront par obtenir le départ des Jésuites (Marquis de Pombal) et la destruction de leurs missions.

L'unité bicéphale de la chrétienté (Empereur, Pape) tend à disparaître. Les rois de France et d'Angleterre contestent et combattent l'empereur. L'Anglicanisme refuse l'autorité du pape. Il affirme l'unité et l'originalité de la nation anglaise. La France reste majoritairement catholique, expulse ou massacre plusieurs fois ses protestants, mais finira par prendre une distance encore plus grande avec l'Église. Le latin, langue de l'Église et des savants, est progressivement remplacé par les langues nationales (1532, à Aoste, premier acte notarié en français). Luther traduit la bible en allemand pour mieux combattre le dogme pontifical. La religion chrétienne se morcelle géographiquement. L'idée de Nation, liée à la langue officielle de la cour royale, tend à remplacer celle de Chrétienté. C'est l'idée d'une totalité unifiée qui s'efface. Chacun sait, maintenant, qu'il existe d'autres pays, d'autres royaumes, d'autres langues. Faute d'un principe d'unification, la compétition commerciale entre royaumes et la course au numéraire deviennent la nouvelle quête. Malgré la vigilance de l'Inquisition (Espagne, Portugal), le monisme idéaliste fait place à un matérialisme dualiste. La totalité chrétienne s'était déjà dilué dans une civilisation chrétienne. Nous assistons maintenant à la transformation de cette civilisation en une rivalité de royaumes chrétiens.

Le discours se laïcise dans les universités, mais il reste général et abstrait. Les métiers d'artisan et de paysan s'apprennent sur le terrain. Petit à petit, la science tentera de prendre à la religion le discours totalisant et sa fonction de justification. Cette tentative culminera, à la fin de la période, avec le darwinisme social.

La Renaissance marque un renforcement de l'Etat. Le mercantilisme, qui assimile le royaume à une entreprise commerciale et se préoccupe de sa balance des paiements, participe, bien sûr, à ce mouvement. En France, avec la fin de la Guerre de Cent-Ans (1475), Louis XI est le premier de ces rois qui restaurent l'autorité royale, défendent le territoire et construisent l'unité de la nation. François Ier, Charles-Quint et Henri VIII sont des figures identiques. Ce renforcement de l'Etat se joue sur les deux plans, maintenant complémentaires, de la domination et de la séduction. C'est une caractéristique de la Renaissance. Même le catalogue des travaux de Léonard de Vinci témoigne de cette nouvelle complexité.

Domination. Seuls les rois sont en mesure de financer les guerres et la colonisation, avec la construction des navires et l'achat des nouvelles armes à feu (1516, manufacture d'armes à feu à Saint-Etienne; 1526, manufacture Bereta en Italie). En Espagne et au Portugal, faute de bourgeoisie, la noblesse participe directement à ce mouvement. Dans les Provinces-Unies, la bourgeoisie est actionnaire de la puissante Compagnie hollandaise des Indes orientales (1606). En Angleterre, le roi confie à des compagnies commerciales les explorations outre-mer (1556, Marchands aventuriers; 1600, Compagnie des Indes; 1661, Compagnie d'Afrique; 1670, Compagnie de la baie d'Hudson). En France, avec Colbert, la Compagnie de la Nouvelle-France (1627) colonise le Québec. L'Allemagne reste étrangère à ce mouvement. Sur terre comme sur mer, les armes et les outils de la conquête ne viennent plus des châteaux mais des villes. La féodalité et son service d'ost sont remplacés par une infanterie et des compagnies de mercenaires. La circulation de la monnaie est devenue le nerf de la guerre.

Séduction. La munificence des princes et des papes est, indissolublement:


* 5. Clivage des représentations

La circulation monétaire assure la percolation des revenus, mais elle perturbe l'ordre social. La rencontre des commerces de proximité et de longue distance est tumultueuse. Elle se caractérise souvent par l'inflation. A partir de 1545, l'or (Mexique) et l'argent (Pérou) des amériques arrivent par l'Espagne, se répandent et se distribuent avec les marchands et les mercenaires. Cet afflux de monnaie provoque une hausse des prix, selon la théorie quantitative de la monnaie. Cette inflation provoque une différenciation dans chacun des trois ordres: clergé, noblesse et tiers-état (1547, le Parlement anglais décide que les vagabonds seront réduits en esclavage). Ceux qui disposent de revenus multiples, de plus vastes domaines, d'un cheptel diversifié ou de plus d'équipements se tirent mieux de la situation. Globalement, c'est la bourgeoisie urbaine qui profite le plus. Elle saura racheter les terres et les titres des petits nobles ruinés. En 1471, Louis XI déclare nobles tous les possesseurs de fiefs.

Cette transformation du fief est, symboliquement, considérable. Elle fait disparaître la hiérarchie guerrière qui était au principe de la tenure féodale. La distribution du royaume en domaines, selon le principe récursif de la délégation du suzerain au vassal marquait son unité. L'hommage du vassal au suzerain définissait une hiérarchie. Il assurait une totalisation, symbolique et sociale, du royaume. Cet ordre était perpétué par l'hérédité du fief. D'où le mythe d'un ordre éternel, transcendant, idéaliste.

La pratique de la vénalité des fiefs, pour redorer les blasons, est une dérive locale, accidentelle. Mais l'anoblissement de leurs possesseurs contredit le principe même du système, comme l'affirmera, plus tard, la réaction nobiliaire en France. Pourtant, le décret ne fait pas disparaître le principe de la tenure. On affirme et on nie le principe. La dualité s'introduit par l'ambiguïté. Car personne n'est en mesure de dégager les principes du nouveau système. Il faudra attendre la Révolution Française pour poser et proclamer le nouveau principe: propriété privée. En attendant, les fiefs sont maintenus, les enclosures sont périodiquement condamnées, mais le système féodal et chrétien a perdu la représentation de sa totalité. Sa réalité apparente, son effet de réalité, son effet de nécessité s'estompent ou s'effondrent dans les esprits.

Dans cette période troublée, la perte de l'unité du discours et de la totalité des institutions provoque une tendance au fétichisme. Nous avons vu l'importance des biens de luxe, outils du prestige, moyens du spectacle politique. Le fétichisme organise un spectacle qui se superpose à la réalité pour la remplacer. D'où le progrès des représentations picturale, sculpturale et architecturale pendant la Renaissance. Le fétichiste préfère le signe ou l'indice à la totalité de l'objet de son désir. Par une relation de métonymie, il reporte sur une partie (détail, indice, image) son attachement pour le tout impensable. Le fétichisme maintien le souvenir d'une puissance imaginaire que la réalité ne montre plus. Il affirme et nie simultanément la puissance. C'est la définition du déni et l'origine du clivage du moi. Le fétichisme reporte le symbole unificateur de la puissance sur un objet partiel et détachable: la monnaie. Elle est à la fois puissance et fertilité. L'argent donne le pouvoir (vénalité des charges et des fiefs). L'argent fait des petits (usure, taux d'intérêt). Le fétichisme de la monnaie reporte sur celle-ci la fascination pour la totalité de la richesse. Forme d'avarice collective, le mercantilisme de l'époque assimile l'excédent de la balance commerciale, l'augmentation du stock d'or, avec la richesse du royaume. Telle est la mutation de la fin du Moyen-Age, le passage, encore ambiguë, à une société dualiste.


o Conclusion

Etat, villes et corporations se développent dans le même affaiblissement du domaine féodal. Le moteur de ce mouvement est la course aux signes de la puissance entre les seigneurs et le marchands. La source de la richesse des marchands est dans la domination des seigneurs sur les serfs. La circulation monétaire est le moyen de ce drainage des richesses. La hiérarchie symbolique entre luxe et subsistance est la machine sociale de cette appropriation. La chrétienté abandonne nombre de ces valeurs pour le fétichisme de la monnaie. Cette échec de la totalité permet le développement des royaumes puis des nations. La transformation de la domination par la séduction accentue le fétichisme par un clivage des représentations. Peu à peu, une nouvelle organisation va se mettre en place, au fur et à mesure que les féodaux se transformeront en propriétaires fonciers. Le tribut fera place à la rente, qui fait le lit du profit.

Hubert Houdoy

Créé le 9 Juillet 1998

Modifié


* Suite

De la Rente au Profit, le Système des Prix


* Présentation du cycle

Des marchés et des Métiers


* Définitions

Les termes en gras sont définis dans le glossaire alphabétique du Réseau d'Activités à Distance.


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Mise à jour: 16/07/2003