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Graphes et Explorations





* Racine


Ce document appartient au Cycle de la Conception des Produits, des Catalogues et des Entreprises. Il est le suite de Graphe d’Exploration des Possibles.





* Plan


Introduction

1. Les graphes de sélection

2. Les graphes de composition

3. Les graphes de complémentarité

4. La conception dans l’entreprise

5. Le graphe politique de l’entreprise

6. Les graphes stratégiques du catalogue

7. Le graphe tactique de la conception du produit.

Conclusion





* Introduction.


Le graphe d’exploration des possibles traduit une démarche d'exploration. Sa manifestation graphique est un objet récursif. Graphe arborescent, infini dans son principe, il se manifeste par un ensemble fini de graphes arborescents concrets. On peut commencer à les tracer par le haut (méthode descendante) ou par le bas (méthode ascendante). L'important est de commencer (démarche. Ces graphes communiquent entre eux par des liens hypertextuels. Ils communiquent aussi avec des graphes descriptifs par d'autres liens hypertextuels. On utilise donc trois catégories de graphes:



Dans un principe de réutilisation, caractéristique de la démarche opportuniste et de la conception continuée , nous illustrerons notre propos avec la pièce ou sous-ensemble levier, produit à concevoir fondateur de la dynastie du levier. Nous l'avons décrite à propos de la modélisation fondamentale.





* 1. Les graphes de sélection


Un graphe de sélection décrit la dérive des solutions successivement envisagées, abandonnées ou reprises par un concepteur pour aboutir à un produit conçu ou à un constat d'impossibilité. Il peut prendre la forme graphique d'une arborescence ou la forme textuelle d'une liste structurée .


1.1. Description


Le bref exemple que nous allons donner aura une vertu pédagogique de simplicité mais pas d'exhaustivité ni même de réalisme. Décrivons le chemin parcouru entre le point de départ et la solution retenue dans un projet de conception .


Nous supposons que la dynastie a déjà été conçue.

Plaçons-nous dans la conception d'un produit.

Il recevra le sous-ensemble levier à titre de composant.

Focalisons-nous sur la sélection d'une famille simple et d'une instance.


Cela montre que la conception d'une instance du composant levier s'inscrit dans un cadre méthodologique (implicite ou explicité) lié à l'existence de la dynastie du levier. Les graphes de conception de la dynastie du levier sont beaucoup plus complexes que ceux qui se limitent à choisir et instancier un membre de la dynastie.


L'exemple donné ci-dessous est une occurrence particulière du choix. Elle se déroule dans un contexte où les contraintes invoquées et les critères de décision adoptés sont pertinents. Au cours de la conception complète du produit, il est possible et même probable que la question du choix de la pièce ou du sous-ensemble levier connaisse plusieurs occurrences. Cela est typique des décisions réversibles même quand le centre de décision est unique.


1.2. Choix de la pièce ou du sous-ensemble levier


Le composant levier est une variante délibérée. Il découle d'un raisonnement de conception. Dans une optique de conception continuée, il a fait l'objet d'une conception systématique de variété pour satisfaire de nombreuses situations où il intervient comme composant. Il s'agit tantôt d'une pièce (rigide, d'un seul tenant) tantôt d'un sous-ensemble pouvant comporter jusqu'à 4 pièces distinctes. Le raisonnement de conception de ce composant est décrit succinctement dans la modélisation géométrique fondamentale.


La dynastie de composants


Les 18 familles simples de la dynastie du levier réalisent le même ensemble de fonctions d'usage à savoir: translation horizontale, rotation, translation verticale. Seules changent les modalités concrètes de réalisation matérielle de ces fonctions abstraites. Le schéma descriptif pièce levier correspond à la famille 12 de la dynastie. L'axe de transformation 1 est vide sur la pièce levier et présent comme pièce complémentaire. L'axe de rotation est vide sur la pièce levier et matérialisé dans un cylindre séparé. L'axe de transformation 2 a la modalité "lacunaire" sur la pièce levier. Il s'agit d'un évidement dont le profil (sketch) correspond à la forme enveloppe du déplacement d'une pièce séparée.


Données du problème


La pièce levier est en rotation autour de son axe central. Elle est mise en mouvement par la translation horizontale du bouton-utilisateur. L'énergie du bouton-utilisateur est transmise à la pièce levier par le premier axe de transformation. Elle déplace, vers la droite ou vers la gauche, la partie supérieure du levier. Nous l'appellerons bras 1 ou bras supérieur. L'axe de transformation 1 est mobile dans la pièce bouton-utilisateur. D'où la forme lacunaire, évidement en noir à gauche, dans le bouton-utilisateur. Mais l'axe de transformation 1 est vide ou absent dans la pièce levier. D'où sa forme circulaire évidée, noire, en haut du bras supérieur. L'axe existe matériellement, comme cylindre solide, dans la pièce 3. La translation horizontale de l'axe fait pivoter le bras supérieur puisque l'axe de rotation central de la pièce levier est fixe. En conséquence la rotation est aussi celle du bras 2 ou bras inférieur de la pièce levier. Ce bras inférieur a pour fonction de transmettre une poussée verticale au support de solénoïde. La relation entre le bras inférieur et le support de solénoïde est assurée par le second axe de transformation. Cet axe peut être matérialisé par un cylindre plein dans la pièce levier: familles 1, 4, 7, 10, 13, 16. Il peut être vide et fixe dans la pièce levier: familles 2, 5, 8, 11, 14, 17. Cela implique donc qu'il soit plein soit sur le support du solénoïde soit comme pièce séparée. Le second axe de transformation peut aussi se déplacer dans l'enveloppe matérielle de la pièce levier. Dans ce cas, il prend la modalité lacunaire dans le levier. Dans les schémas pièce levier et fonction de la pièce levier nous avons choisi de représenter la modalité lacunaire sur la pièce levier et la modalité vide sur la pièce support de solénoïde. Cela implique qu'il se matérialise dans un cylindre plein séparé: la pièce 5.


Contexte


A un moment donné de la conception d'un boîtier de commande dans lequel le levier intervient comme composant, la combinatoire des modalités des axes sur le levier, le bouton-utilisateur et le support de solénoïde ont été fixée ainsi:



Objectif local


Trouver dans la dynastie du levier une famille simple adaptée à ce contexte. Dans notre exemple, puisque la dynastie a déjà été formalisée au cours d'une conception préalable, le problème semble trivial. Il suffit de chercher dans la liste les valeurs ordonnées: vide, vide, lacune. Dans la dynastie, la famille simple numéro 12 correspond à cette définition contextuelle.


Contraintes


Mais cet objectif est soumis à des contraintes. Il faut trouver dans la famille concernée une instance dont les valeurs des paramètres (diamètre du premier axe de transformation, longueur de bras supérieur, diamètre de l'axe de rotation, angle entre les deux bras, longueur de bras inférieur, profil de la forme lacunaire pour le second axe de transformation, densité de matière, épaisseur de matière) satisfasse toutes les contraintes: position de l’axe de rotation, position du plan horizontal de translation, position du plan vertical de translation, course du bouton-utilisateur, course du support de solénoïde, espace disponible pour le mouvement du levier.


On constate alors que les contraintes se propagent dans le système que constitue l'ensemble des pièces nommées en première lecture et candidates à une sélection définitive. D'où l'importance de la gestion des contraintes en conception. Et l'espoir que représentent la programmation avec contraintes et les modèles de décision par contraintes qu'elle permet de développer.


Le graphe de sélection


La précision (résolution mathématique ) avec laquelle sera tracé le graphe est fonction de l' instrumentation de la conception. Elle n’est pas sans lien avec la résolution psychologique , réelle et non pas spectaculaire, dans l’entreprise.


Formalisation


Tout ce que nous avons rédigé ci-dessus correspond à des branches non explicitées du graphe d'exploration des possibles, ou à une forme littéraire de ce graphe. Il faut d'ailleurs se garder d'une logique de tout ou rien. Sinon il n'y aura jamais de graphe ni de capitalisation. Mais toute formalisation, même partielle et locale, peut servir de base pour un développement ultérieur. Surtout quand un problème manifeste un degré de répétitivité qui amène à fantasmer sur le paramètrage en CAO. Ce fut justement le cas de la pièce levier à Télémécanique.


Dans notre exemple. Au point où nous en sommes restés de notre exposé du problème, on peut imaginer que le graphe va décrire le choix de la pièce dans la famille simple. Il reste des degrés de liberté pour fixer définitivement la longueur des bras, l'angle entre les bras et la position exacte de l'axe de rotation. Plus le bras inférieur sera long, plus sa rigidité exigera une forte épaisseur de matière autour de la forme lacunaire (évidement). Plus cette épaisseur est grande, plus s'accroissent l'encombrement, le poids et le risque de télescopage avec d'autres pièces. Le graphe décrit donc la succession des hypothèses envisagées, leurs conséquences sur telle ou telle pièce, la raison de leur abandon et les raisons de l'élection de la solution retenue à ce point du raisonnement de conception.





* 2. Les graphes de composition


Les graphes de composition ne seront pas développés dans cet article. La raison en est qu’ils tendent à être, le plus souvent, intégrés dans les logiciels de CAO. Nous avons d’ailleurs participé à cette intégration.


Il faut comprendre que les graphes de composition interviennent à toutes les échelles:




Le schéma la pièce levier est un exemple caricatural de graphe de composition. Le modèle de CAO est réalisé, ici, avec les outils graphiques d'un logiciel de traitement de texte.





* 3. Les graphes de complémentarité


Les graphes de complémentarité sont associés à des graphes de composition .


Les graphes de composition décrivent un produit de manière exhaustive. Les graphes de complémentarité ne mentionnent que les parties (pièce, détail ou forme multi-fonctionnelle) qui entretiennent des relations particulières avec d'autres pièces (mouvement, guidage, usure, tolérance, position relative). Ils s'efforcent de nommer ou de définir le type de relation qu'entretiennent chaque couple ou chaque ensemble de pièces ou de parties non isolables.


Les schémas fonction de la pièce levier et analyse fonctionnelle du produit sont des exemples simplissimes de graphes de complémentarité .


C'est un graphe de complémentarité qui explique que lorsque l'axe de transformation numéro deux prend la modalité "lacunaire" sur la pièce levier et la modalité "vide" sur le support de solénoïde il doit prendre la modalité "plein" dans une pièce complémentaire.


Ces graphes peuvent alimenter des moteurs d'inférence dans des logiciels d'aide à la conception (IAO). Nous espérons que notre exemple aura montré l'intérêt d'une analyse sous contraintes tournée vers l' explicitation de l’autonomie en vue d'un logiciel d’ aide à la coopération . Car, même quand le concepteur est seul, on peut le considérer comme un réseau de centre de décisions représentés par autant d' agents coopératifs spécialisés.





* 4. La conception de l'entreprise


Dans une logique de conception continuée , adoptée par une organisation apprenante, la démarche opportuniste ne s'applique pas seulement au niveau opérationnel de la conception individuelle.


Dans une problématique de conception collective , la démarche opportuniste ne se limite pas non plus au seul niveau tactique de l'équipe de projet. La démarche concerne tous les niveaux d’organisation de l' entreprise. Ce n'est plus seulement de conception de produit que nous parlons.


Dans une logique cherchant le confinement de l'exécution dans un cadre de dépendance , on peut hiérarchiser les niveaux de décision dans l'entreprise. Ainsi, les décisions stratégiques définissent la politique à long terme, les décisions tactiques se situent dans un horizon de 6 à 18 mois tandis que les décisions opérationnelles assurent la flexibilité quotidienne.


Cette coupure radicale entre décision et exécution ne reflète ni le vécu interne de la conception ni la très forte instabilité actuelle des structures ou des limites de l'entreprise. Dans les environnements très fluctuants, il semble nécessaire de lui substituer une logique de l' action collective instrumentalisée par des logiciels facilitant les décisions réversibles .


Dans une perspective de réingénierie, les graphes d'exploration des possibles concernent la conception de l'entreprise par elle-même. Les graphes se distinguent alors par leur horizon temporel et le niveau d’organisation concerné: graphe politique , graphe stratégique , graphe tactique .





* 5. Le graphe politique de conception de l’entreprise.


Au plus haut niveau, le graphe politique relie les positions possibles de l’entreprise sur le marché. Il s’agit d’un graphe de sélection . Une seule terminaison de l’arbre reflète la situation actuelle de l’entreprise. C’est le graphe de conception de l’entreprise par la Direction Générale.


Des liens d’hypertexte et des mots de passe permettent, aux personnes autorisées, de naviguer du graphe schématique aux documents explicatifs. Les branches qui dérivent d’un tronc représentent des hypothèses alternatives qui font l’objet d’une réactualisation permanente. Il s’agit de “veille politique”.


A une date donnée, l’entreprise occupe une position et une seule. Les valeurs de chaque position sont assimilables à celles d’une matrice des gains en théorie des jeux . La direction générale s’efforce de tenir la position qui lui parait la plus favorable. Les étages de foisonnement des hypothèses représentent les concurrents majeurs, les clients leaders, les principaux fournisseurs, les tendances de l’évolution technologique, les agrégats et les indicateurs mondiaux. Les coefficients de différenciation à chaque fourche sont fonction de la multiplicité des valeurs retenues pour les actions des joueurs ou les états de la nature.


Comme l’entreprise n’occupe qu’une position à la fois, le reste du graphe peut rester confidentiel pour les organisations englobées. Mais chaque fois qu’une décision de la direction provoque un changement de position politique, à défaut de diffuser le graphe in extenso, un ordre du jour sur le front des troupes décrit la nouvelle position à tenir ou à conquérir.





o 6. Les graphes stratégiques du catalogue des produits.


Au second niveau d’organisation, trois graphes stratégiques développent les conséquences possibles de la position de l’entreprise. La Direction Industrielle, la Direction du Marketing et celle de la Recherche & Développement. Ces graphes dérivés alimentent le graphe politique qui les synthétise. Ce sont aussi des graphes de sélection puisqu'une seule terminaison de l’arbre reflète l’action courante de l’entreprise.


Les graphes stratégiques concernent la conception du catalogue des produits et des services vendus à la clientèle. Les hypothèses sont relatives aux ressources industrielles de l’entreprise et de ses partenaires, aux besoins de la clientèle et aux possibilités de la technologie.


Le graphe “marketing” formule les hypothèses d’action, de réaction et de dialogue qui segmentent au mieux la clientèle. Le graphe “industriel” développe des variantes d’utilisation, de développement et de migration des ressources industrielles. Le graphe “R&D” explore les possibilités d’utilisation des technologies émergentes dans de nouveaux produits ou pour rajeunir les anciens.


Formellement, les trois graphes pourraient ne faire qu’un seul arbre. Tous confrontent le catalogue actuel à l’évolution de leur domaine d’observation. La confrontation et la conciliation des points de vue aboutit à une position commune. Idéalement, une seule terminaison de l’arbre reflète la stratégie commune de l’entreprise. C’est le graphe de conception du catalogue ou de l'offre de l’entreprise. La position dans l’arbre correspond à une décision de modification du catalogue par ajout, retrait ou modification de produit ou de service. La terminaison courante du graphe des possibles est la définition du produit à concevoir . C’est le cahier des charges évolutif de la conception simultanée du produit, du process et de l’usage .


Sociologiquement, il y a trois graphes puisqu’il y a trois directions ou trois décideurs. Au niveau stratégique, la division technique du travail ressemble beaucoup à une division sociale du travail . Quand on analyse les causes profondes de cette triplicité on se demande si certaines entreprises ne tendront pas à séparer ces trois activités. Les métiers ont été créés par la croissance de l’entreprise sur un marché de vendeurs . Ils se sont fortement différenciés. Une récession pourrait consommer leur divorce et l’ implosion de la grande entreprise. A moins que le partenariat avec les clients leaders ne modifie considérablement le fonctionnement interne. Dans les deux cas on serait dans un marché d’acheteurs .





* 7. Le graphe tactique de la conception du produit.


Au niveau tactique, le graphe d’exploration des possibles est l’ensemble des arborescences qui retracent les choix menant à la définition du produit à concevoir comme à celle du produit conçu .


Il ne doit pas être confondu avec la méthode descendante de conception du produit qui se manifeste par des graphes de composition décrivant une structure statique. Les deux types de graphes sont construits en parallèle et reliés par des liens d’hypertexte.


Le graphe d’exploration mentionne les questions que l’on se pose et les hypothèses que l’on formule. Quand on abandonne une position du champ des possibles on mémorise la conception descendante du produit. Un lien hypertexte relie la position abandonnée aux documents décrivant l’état de la conception (SGDT).


Quand on abandonne une position, on revient à une zone inexplorée. Une partie de la description du produit reste valable. Avec une bonne méthodologie de construction, certains modèles de CAO peuvent être dupliqués pour réutilisation. Un ensemble de copier-coller fournit le nouveau graphe de composition. Et la démarche se poursuit...





* Conclusion


Reprenons l’image de la cartographie marine. Tout projet de produit est productif, sur le plan des connaissances, si on garde la trace des cheminements et s’il améliore la connaissance du champ des possibles. Avec la méthode dichotomique , on apprend autant d'un échec que d'un succès. Nous ne prétendons pas que l'on gagne autant.


Rappelons-nous les ingénieurs découvrant que 80% de leurs innovations avaient déjà été étudiées dans le passé. Considérons une entreprise spécialisée dans son domaine de compétence. Elle cherche à saturer le champ des possibles pour les besoins de sa clientèle partenaire. La productivité d’un projet qui débouche sur une impossibilité est égale ou supérieure à celle d’un projet qui "invente" un produit déjà conçu 5 ans plus tôt. Car l'un fournit une connaissance tandis que l'autre aurait pu être évité. Un projet ne doit pas être évalué par la quantité de bruit et de fureur qu’il a généré dans l’entreprise. Sa valeur réside dans la connaissance qu’il produit et l’information qu’il délivre.


Revenons au “Trésor de Rackham le Rouge”. Tintin et ses amis ont couru des aventures passionnantes. Le graphe des cheminements indique des allers et retours. A priori ils ne sont pas inutiles. On trouve parfois ailleurs le recul ou l’inspiration. Mais les cheminements sont inutiles quand le graphe politique, inconnu du concepteur, mentionne l’existence du globe terrestre au Château de Moulinsart. Imaginez que Nestor ait caché au capitaine l'existence du trésor à Moulinsart. La productivité du projet aurait été négative. Autrement dit, la circulation de l'information dans l'entreprise et la trace des cheminements passés sont des conditions du raccourcissement des cheminements futurs.


La carte des possibilités et impossibilités rencontrées est un merveilleux outil de dialogue avec la clientèle. La lecture conjointe des expériences passées capitalisées est une excellente manière de constituer des équipes mixtes. La spécialisation est le meilleur moyen d’explorer avec elle son besoin et la manière de le satisfaire. Sans échapper aux contraintes de la valeur d’échange, le graphe d’exploration des possibles est un outil de partenariat. Il permet d’améliorer ensemble la valeur d’usage des produits de la conception.





* Auteur


Hubert Houdoy

Créé le 5 Avril 1999





* Compléments









* Définitions


Les termes en gras sont définis dans le glossaire alphabétique du R.A.D.








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Mise à jour: 24/12/1999