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Graphe d’Exploration des Possibles





* Racine


Ce document appartient au Cycle de la Conception des Produits, des Catalogues et des Entreprises





* Plan


Introduction

1. Origines

2. La conception

2. Le principe de la carte des possibles

Conclusion





* Introduction


Le graphe d’exploration des possibles est une technique hypertextuelle. Son développement arborescent combine des textes et des graphiques auxquels un SGDT peut associer tous les objets intermédiaires de la Conception Assistée par Ordinateu r. Cette technique vise à prendre conscience de la position actuelle de l' organisation réelle concernée. Ceci étant acquis, elle permet de garder la trace des chemins de la conception simultanée du produit et du process. Le terme de produit et celui de process sont pris au sens le plus large possible. Les chemins sont ceux qui furent envisagés, suivis, aperçus, poursuivis, abandonnés ou repris au cours d'une activité de conception.





* 1. Origines


La technique du graphe d’exploration des possibles trouve son origine dans l'écriture d'une réflexion collective: le graphe d'association d'idées . Cette technique elle-même est dérivée de Métaplan. Je l'ai élaborée à Télémécanique & Schneider pour l'animation de groupes de réflexion. Je l'ai reprise, pour le projet de bases de composants, lors d'une conférence-débat à l'AFNOR. Un schéma comme "le métier d'intégrateur", qui a toute une histoire, garde la trace de cette réflexion collective. Chaque participant a apporté une partie de la définition . Cela se manifeste encore par le parallélisme des lignes verticales. Un schéma comme "liste simple" est considéré par le groupe de travail comme une convention de définition au sein du groupe.


Dans une méthode ascendante , un schéma sert de base ou de primitive pour de nouvelles définitions. Ainsi une "collection simple" utilise le sens préalablement défini de la "liste simple". La notion de collection simple peut s'appliquer à des catalogues ou à des dynasties en héritant de la définition textuelle d'une dynastie. Cette dernière est basée sur les définitions de pièce, de produit, de famille et de branche.


Pour les participants au projet, "collection simple" s'oppose à "collection structurée" comme liste simple s'oppose à liste structurée ou à arborescence. Le concept de collection s'applique autant à des catalogues qu'à des dynasties. C'est ainsi que se construisent langage et référentiel communs . Sans eux, l' action collective serait impossible.


Le graphe d'exploration des possibles dérive de cette pratique d' écriture collective . Il abandonne le tableau blanc et l'animateur pour s'adapter aux situations de coopération distribuée. Conçu pour servir de mémoire , individuelle et collective, le graphe d'exploration des possibles prend la forme d'une arborescence graphique ou d'une liste structurée textuelle. Quand on dispose d'un ordinateur et d'un réseau de communication, le graphe d'exploration des possibles prend la forme hypertextuelle qui lui donne toute son efficacité. Il peut être complété par des outils d'indexation et de recherche en plein texte. Dans le cas d'un projet de conception industrielle, il est utile de coupler les éléments hypertextuels avec la Conception Assistée par Ordinateur et les Systèmes de Gestion de Données Techniques . Matra DataVision s'est lancé dans cette voie.


Le graphe d’exploration des possibles trouve son intérêt dans la conception individuelle. Mais il est beaucoup plus utile comme instrument d'une conception collective . Il est encore plus intéressant de le considérer comme un outil de capitalisation des connaissances élaborées lors d'un projet de conception . Son but est alors de réduire les délais ou le time-to-market du prochain projet de produit nouveau.


Le graphe d’exploration des possibles est donc au coeur de la conception continuée , synthèse des problématiques de la conception simultanée , de la capitalisation des connaissances, de l'apprentissage organisationnel, de la conception distribuée et de la conception en partenariat . Il se développe dans un environnement réactif et propice à la coopération.





* 2. La conception


Quelle que soit l’ organisation réelle au sein de laquelle elle s’exerce, l'activité de conception explore la possibilité de réaliser de nouveaux produits, de nouveaux services, de nouveaux concepts ou de nouvelles organisations .


On présente généralement la conception comme la recherche d’une solution concrète à un cahier des charges précis. Cela ne correspond pas à la réalité. La pratique quotidienne amène à poser que la conception est un processus coopératif pendant lequel:



La conception n'est pas un processus de production ou de transformation matérielle. Elle est un processus d'exploration d'un espace de solutions , en vue de cette production matérielle. Par contre, la conception est un processus de production de représentations. Et ce point n'est pas assez pris en compte. Une vision ex post de la conception insiste sur le chemin imaginaire qui mène tout droit à la solution. C'est le point de vue , toujours légitime et parfois satisfait, du consommateur passif et du client captif. Il est alors tentant de réécrire l'histoire au futur antérieur . On décrit n'importe quoi . On raconte une belle histoire. On décrit tout, sauf le processus de conception. Le vécu instantané de la conception est un pari sur l'existence d'une solution. Si on était sûr de l' existence sémiotique d'au moins une solution on ne pourrait plus parler de conception. Ce point est commun à l'invention technique, à la création artistique, à la découverte involontaire de l'Amérique et à l'ouverture de voies d'escalade dans les Alpes ou dans l'Himalaya.


Dialectique du modèle et de la série


Les conceptions s'inscrivent donc dans des séries . Elles sont marquées par des premières, des variantes, des solitaires, des hivernales ou des directissimes. Ainsi, la première ascension du Mont-Blanc, est-elle le modèle absolu ou la conception de l'alpinisme. De ce fait, elle n'appartient pas au même système de représentations que les suivantes. Jacques Balmat n'a pas seulement trouvé un chemin dans les séracs du Glacier des Bossons et les crevasses du Grand Plateau. Le cristallier et le médecin de Chamonix (qui savait que la nature n'a pas horreur du vide ) ont surtout prouvé, soit que les monstres des glaces n'existaient pas, soit qu'ils n'étaient pas aussi dangereux qu'on le craignait. Cette première ascension a créé une nouvelle représentation de la montagne. Elle a montré, qu'à côté de la théorie classique de la table rase , une théorie du paysage montagneux devenait possible, utile, nécessaire. Elle a contribué à détruire l'image de résidence des esprits maléfiques. Elle a créé une représentation de la montagne comme terrain de jeu.


Paysage montagneux


Plus que la première ascension du Mont-Aiguille (en Vercors) au Moyen-âge, la première ascension du Mont-Blanc est fondatrice de l'alpinisme. Elle a contribué à l'essor d'un sport et d'un tourisme. Cette production de représentations n'intéresse pas seulement les alpinistes. Elle appartient à l'histoire des idées. A côté de cette libération des superstitions, même la première directissime de la face italienne n'est plus qu'une prouesse technique (dont j'aimerais être capable). Dans l'histoire du féminisme, la voie ouverte par Catherine Destivelle dans le pilier des Drus n'est pas moins importante.


Il en va de même pour l'invention du walkman par Sony. Elle n'appartient pas au même monde que la production du premier produit concurrent. L'univers mental ou l' univers décisionnel dans lequel progressent le pionnier et le suiveur sont fondamentalement différents. Leurs itinéraires géographiques ont beau être identiques ou comparables, leurs itinéraires mentaux sont incommensurables.


Le pionnier ouvre un nouveau champ des possibles. Il crée un nouveau cadre de pensée (frame pour Marvin Minsky) qui contribue à une représentation du monde. Souvent il faudra développer un système sémiotique particulier.


Le suiveur crée un nouvel itinéraire dans ce nouveau champ des possibles. Il enrichit le système sémiotique. L'activité de conception ne nous intéresse pas du seul point de vue des historiens ou géographes (ex post ) mais aussi du point de vue des sciences cognitives (ex ante ).



Marché spéculatif


Prenons un autre exemple de conception risquée dans l'activité de trading pétrolier. Je me souviens d'une note assassine adressée par le contrôleur financier au Directeur Général de Copechim. Graphe à l'appui, la note montrait que notre spécialiste du marché à terme avait acheté au plus haut du cours pour revendre au plus bas. Chacun comprendra que ce n'est pas le meilleur moyen de s'enrichir. Mais cette opération de stop loss , initiée dans une situation spéculative sur le pétrole papier , n'était pas autonome. Elle ne trouvait pas sa logique financière en elle-même. Elle était destinée à couvrir le risque de ses collègues, les opérateurs sur le marché physique (pétrole physique ). Or les dates d'achat et de vente sur le marché à terme étaient dictées par la date, incontrôlable, où la cargaison de pétrole brut sibérien (SEB, Soviet Export Blend) quittait Ventspils en Mer Baltique et la date, nécessairement proche, où le tanker de la flotte soviétique atteignait Amsterdam, Rotterdam ou Anvers. C'est donc le bilan global (physique et papier) de l'opération qu'il fallait juger et non pas la moitié de l'opération. Et la décision de pratiquer ou non le stop loss est un choix stratégique pour l'entreprise (et politique pour l'activité de trading). Il se prend lors de la constitution d'une équipe de trading. Cette décision-bifurcation crée un cadre de travail et de pensée. Elle produit tout un système sémiotique au sein duquel s'inscrivent les actions des traders sur le physique, celles des opérateurs sur les marchés à terme, celles du back-office, celles du service d'affrètement et celles du directeur informatique qui conçoit les logiciels d'aide à la décision. La décision de pratiquer ou non le stop loss est une prise de position stratégique. Elle se prend au niveau politique . Elle ne se pose plus à chaque opération et surtout pas à chaque minute de celle-ci. Par contre, au sein de cette option stratégique, il faut mettre à jour le calcul des risques. La méthode d'évaluation doit être cohérente avec la stratégie adoptée. Quitte à prévoir plusieurs stratégies. La seule logique interne de cette note était la manifestation d'un refus de coopération du service financier avec le service commercial. En ce sens, cette note est représentative du féodalisme contemporain. Les féodalités sont le principal obstacle au graphe d'exploration des possibles et la faiblesse stratégique de beaucoup d'organisations réelles.


Conception Collective


Il est impossible d'isoler l'activité de conception industrielle comme si elle se situait dans la tête d'un seul individu. Comme nous le verrons plus loin, la conception d'un produit est un chapitre de la conception de l'entreprise . On peut concevoir l'entreprise comme un conglomérat ou un porte-feuille de placements financiers affectés d'une espérance de gain et d'un facteur de risque. La représentation de la conception des produits ou services y sera probablement celle de la boite noire, du mystère ou du génie inventif. Par contre, si nous traitons de la conception dans la perspective des sciences cognitives, nous devons nous placer du point de vue des organisations apprenantes. Nous avons alors un cadre de pensée (frame) dans lequel poser la question de la conception continuée .


Apprentissage organisationnel


Une organisation apprenante se préoccupe de ses propres représentations pour mettre à jour ses cadres de pensée pendant qu'évoluent ses méthodes d'action. Son action est simultanément une exploration. Elle cherche à mieux connaître l'environnement dans lequel elle évolue et se développe. Ses représentations sont des modèles hypothético-déductifs. Une action est à la fois un pari tendu vers la réussite et une conjecture qui prend le risque de la réfutabilité. Une organisation apprenante pratique la méthode dichotomique , en ce sens qu'elle apprend autant de ses réussites que de ses échecs. Une entreprise qui vend bien un produit sans réussir à savoir pourquoi il se vend est en danger. Elle ne verra pas venir l'effondrement de la demande. Elle ne saura pas quelles fonctions implémenter dans le prochain produit.


Une organisation apprenante cherche à mieux se connaître. Elle s'efforce non seulement d'avoir une vision précise de son environnement, mais une représentation pertinente d'elle-même. Ce qui n'est ni donné ni facile. Il est important de savoir réellement comment les actions se déroulent et comment les décisions sont prises. Il faut éviter de laisser toute la place au spectacle décisionnel et aux fausses représentations qui en découlent.


Le graphe d'exploration des possibles trouve son intérêt dans une telle problématique. Il cherche à dresser la carte du champ des possibles ou de l' espace des solutions . Mais il ne le fait pas comme le cartographe dont les instruments permettent de savoir simultanément ce qu'il voit et où il se trouve. Il le fait, à la manière de l'explorateur, en conditions réelles. C'est-à-dire que s'il progresse pendant trois jours dans le brouillard, il donne son azimut, sa vitesse approximative et le peu d'informations qu'il a pu noter à 50 centimètres de ses pieds. Le graphe d'exploration des possibles cherche à tracer le vécu du concepteur. Ceci étant, il pourra toujours être complété a posteriori. Mais ceci est une autre histoire.


En poursuivant notre analogie géographique, les conceptions réussies et les conceptions avortées localisent des zones de possibilité et d’impossibilité, comme les sonars signalent des montagnes et des plaines au fond des océans. Ces informations, même partielles, seront utiles pour les prochains projets de conception.


Refus de la sémantique


Pourtant, on dresse rarement la carte du champ des possibles. J’y vois plusieurs raisons:



Les trois premiers points expliquent l’inexistence d'une carte au sens graphique du terme. Nous attendons trop d'une carte qu'elle soit parfaite. Coutumiers des cartes Michelin ou IGN, nous avons perdu l' habitude des récits et des croquis d'explorateurs. Nous voulons "un modèle numérique, sinon rien". Nous considérons les mots comme s'ils n'étaient que du vent.


Mémoire énergétique et signifiante



Cette dernière raison plaide au contraire pour l’amorce de sa constitution. Sans cartographie progressive, la multiplication des détails gêne la vision globale. Le foisonnement des réalisations et leur rapide renouvellement font perdre la mémoire des possibilités. On dit que la Nasa ne serait plus capable de poser un homme sur la lune. Les fondateur de la société Némésia, qui organisent la mémoire des entreprises (CEA, CNRS, ELF, GDF), racontent: “les ingénieurs d’un grand établissement d’emballage ont découvert que 80% de leurs innovations avaient déjà été étudiées dans le passé”. Même si nous parlons de carte, il ne faut pas y voir un objet géométriquement achevé. Nous éviterons d'ailleurs, dans ce document, de donner dans la formalisation factice.


Le graphe d'exploration des possibles est un objet topologiquement défini (de proche en proche) mais géométriquement inachevé voire incohérent. Il ressemble à toutes les cartes dressées par les pionniers qui explorent de nouveaux territoires sans être connectés en temps réel avec des satellites géostationnaires. Le graphe d'exploration des possibles ne détermine pas la métrique du territoire. Il retrace le chemin vécu par le concepteur. A chaque obstacle ou repère, sa seule question est: "Vais-je contourner par la droite ou par la gauche ?" ou bien "Vais-je progresser par le bas du thalweg ou par le haut de la crête ?". Il trace des questions et leurs réponses. Il note l'urgence des questions et la justification, toute circonstancielle, des réponses.





* 3. Le principe de la carte des possibles


La carte des possibles est un graphe qui se développe par foisonnement. Sa forme représente la succession des bifurcations qui jalonnent un parcours de conception. La valeur informationnelle d’un détail dépend de la connaissance du chemin qui y mène. Un concepteur qui ne sait pas dans quel contexte se situent ses choix peut tout aussi bien choisir au hasard. Il n'a pas de critère de décision.


Rappelons-nous “Le trésor de Rackham le Rouge”. Tintin et le capitaine parcourent le monde et les océans. Finalement, au retour, ils trouvent le trésor dans les caves de Moulinsart. Le parchemin qui indique le totem du chevalier de Hadoque n’est utile que si l’on connait la position de l’île sur les océans et surtout l’existence d’un globe terrestre au Château de Moulinsart. Pour garder la trace d’une conception réalisée dans un bureau d’études , il faut mémoriser son contexte: la politique de la direction générale, la stratégie de la direction du marketing, etc. Ce contexte devrait être son cadre de pensée . Or, le concepteur en ignore souvent les trois quarts. Le culte, la valeur pratiquée, du secret hiérarchique est le premier obstacle à la mémoire des entreprises.


Le graphe d’exploration des possibles n'est ni l’outil du géographe qui cartographie le fond des océans ni l’outil de l’historien qui garde la mémoire des instants. Pourtant il les prépare tous les deux. Il s'efforce de faire la même chose sans l'instrumentation ni le recul. Il procède dans l'imperfection. Il n'utilise que (mais tout) ce qui est connaissable dans l'instant (hic et nunc, ici et maintenant ) de la conception. Des arborescences retracent les choix qui mènent à la définition du produit à concevoir comme à celle du produit conçu . Ces choix traversent des domaines aussi divers que: la politique d’entreprise, l’analyse économique, la démarche marketing, la stratégie industrielle, le canal de distribution, les matériaux, le découpage en modules et la gestion des contraintes d’encombrement. A chaque domaine de connaissances correspond une organisation réelle spécialisée. C'est pourquoi le graphe d'exploration des possibles suppose la communication entre les services. Il relève bien du nouveau paradigme, nommé coopération et conception.


Le déroulement d’une conception n’est jamais linéaire . Un choix initial est remis en cause, au vu de conséquences proches ou lointaines. On quitte alors une zone avalancheuse jugée trop dangereuse pour revenir à une plaine laissée inexplorée et jugée plus propice à la traversée. De question en question on progresse dans cette nouvelle région. On aboutit finalement à une solution ou à un constat d’impossibilité relative: matérielle, technique, économique, commerciale ou politique.


La même solution peut être atteinte par des chemins différents, en fonction de l’ordre dans lequel on se pose les questions et de l’ordre dans lequel les décideurs effectuent leurs arbitrages. Pour cette raison, l’espace des cheminements est beaucoup plus touffu que l’ espace des solutions . Mais c'est l’espace des cheminements qui permet l' apprentissage organisationnel . Tandis que l'espace des solutions se manifestera aux clients de l'entreprise sous la forme du catalogue des produits.





* Conclusions provisoires


Le graphe d’exploration des possibles est le symptôme ou le témoin d'une démarche. Il n'est pas l'outil de calcul magique, la première recherche opérationnelle , des entreprises citadelles . Il est un instrument graphique adapté aux entreprises en réseau.


Le graphe d’exploration des possibles suppose une ouverture sur la réalité.

Cette vision objective est double:


L'exploration implique que l'entreprise prenne en compte les contraintes de l'économie marchande. Mais l'ouverture est un refus de se fermer ou de s'aliéner dans une caricature de l'homme aux écus.


Le graphe ne prétend pas représenter une totalité. Il explore des potentialités. Elles sont définies par une combinatoire d'éventualités (d' actions et de réactions). Elles sont relatives au projet et à ses rejets.


Le graphe ne calcule pas la résultante (solution mathématique) d'un système de déterminations.


La technique d'exploration est rendue nécessaire par la prise en compte de la globalité de la réalité indépendante.


Nous allons voir que la manifestation graphique de la méthode est un objet récursif.





* Publication en librairie


Pilotage et évaluation des processus de conception

Sous la direction de Jacques Perrin pour ECOSIP:

Pierre Barthélemy, Nathalie Bonnardel, Hubert Houdoy, Claude Pellegrin, David Raviart, Olivier Sénéchal, Christian Tahon.


Éditions L’Harmattan

5-7, rue de l’école-Polytechnique, 75005, Paris

55, rue Saint-Jacques, Montréal (Qc), Canada H2Y 1K9





* Auteur


Hubert Houdoy


Créé le 7 Mai 1996

Modifié le 16 Mai 1999





* Suite


Graphes et Explorations





* Compléments










* Définitions


Les termes en gras sont définis dans le glossaire alphabétique du R.A.D.








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Mise à jour: 16/07/2003