Harcelement Moral


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Le Harcèlement Moral au Travail


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Quatrième document du Cycle Division du Travail.


Il est la suite de Don Mauss. "M.A.U.S.S., l'Economie de Don" (donmauss.htm)


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** Document en cours de reprise **


o Plan


Introduction

1. Nouveauté ou antiquité ?

2. Découverte ou dévoilement ?

3. Le Pervers narcissique.

4. Les Sanctions antisociales.

Conclusion


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o Introduction


L'Economie Politique traditionnelle distingue et compte trois divisions du travail : (i) depuis la lointaine époque indo-européenne, la division politique du travail organise une domination dans toute société dont les fonctions sont réparties entre les prêtres, les guerriers et les producteurs ; (ii) sur les marchés, la division sociale du travail met en concurrence des marchandises qui ne sont pas produites dans la même organisation réelle à but marchand ; (iii) dans chaque organisation réelle de production, la division technique du travail veut que chacun exerce des compétences spécifiques dans un métier spécialisé. A cette distinction classique, grâce à un dévoilement récent opéré par le mouvement féministe, il faut ajouter la division sexuelle du travail. Bien qu'elle ne soit pas nouvelle, cette division était devenue invisible, par un refus de voir, par l'oubli propre à l'habitude et sous le voile idéologique des justifications. La division sexuelle du travail se manifeste encore par une inégalité des salaires entre les hommes et les femmes. Cette division selon le sexe conteste le mythe économique ou le postulat simpliste de l'homo oeconomicus. Cette division ne peut pas s'expliquer par des intérêts, dits rationnels, ni par les impératifs d'une lutte contre la rareté. Déjà, le harcèlement sexuel dénonce d'autres motivations à ce cloisonnement. Nous y reviendrons à propos de la "Domination Masculine". Plus généralement, tous les harcèlements supposent des motivations qui devraient être étrangères à l'homo oeconomicus, tant ces comportements sont défavorables à l'efficacité des activités de production. Le harcèlement est une violence, qu'elle soit physique ou morale. Le harcèlement moral utilise une violence morale. La réflexion sur le harcèlement est récente. Elle remet en cause les postulats de l'Economie politique. Elle rapproche ses questions de celles de la Sociologie. La réflexion sur le harcèlement remet aussi en question le clivage des représentations entre ces deux disciplines de ce qui devrait être une seule Science Sociale.


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o 1. Nouveauté ou antiquité ?


Les harcèlements sont bien connus dans le monde de la guerre (l'attaque subite des cavaliers sur l'arrière garde chargée du ravitaillement, le bizutage des bleus, la torture des prisonniers, le passage sous les fourches caudines, la vente des vaincus comme esclaves, la décimation de la troupe qui recule). Pourtant, les harcèlements existent aussi dans le monde du travail et dans le monde de l'amour. C'est dans ces deux derniers domaines que Marie-France Hirigoyen les étudie. Elle le fait dans deux ouvrages récents : "Le Harcèlement Moral, La violence perverse au quotidien" et "Malaise dans le travail. Harcèlement moral : Démêler le vrai du faux". En effet, malgré leurs idéologies iréniques (camarederie virile, créativité productive, cocon de la vie de famille), aucun de ces trois mondes n'est paradisiaque. Pour les victimes, quelque soit le domaine, un harcèlement durable conduit à l'échec, à la faute professionnelle, à la maladie, à la dépression, à la toxicomanie, à la folie voire au suicide. Aucune de ces conduites n'améliore la situation économique, ni individuelle ni collective.


Le harcèlement moral n'est donc pas une spécialité locale. Il n'est pas non plus une nouveauté, ni dans le couple, ni dans la famille, ni dans le travail. La nouveauté réside dans le fait que les médias en parlent. Ce qui est une nouveauté pour les médias peut se conjuguer avec une très forte ancienneté. Le harcèlement moral est ancien, diffus, mais il n'était pas vu comme une violence injuste.


Depuis longtemps, à l'abri de cette bévue, le harcèlement fonctionne comme une version perverse de la domination. Le harcèlement fait passer de la domination traditionnelle à la domination perverse. Par rapport à des inégalités traditionnelles, de richesse et de statut, comme celles entre le Sénat et la plèbe à Rome, le harcèlement accentue leurs effets (Sylla, Marius, Cinna, Pompée). Le harcèlement manifeste la violence sadique latente qui sous-tend les injustices sociales, les conflits politiques et les brouilles diverses. Le harcèlement s'oppose au statu quo de la tradition. La tradition organise le monde de la violence symbolique. Grâce au respect de la tradition, la violence devient invisible, imperceptible, habituelle et intériorisée. La violence semble perdre sa cruauté. A l'inverse, le harcèlement restaure la violence physique ou la violence morale. A Rome, le passage de la République à l'Empire a été réalisé par un certain nombre de pervers, parmi lesquels il faut compter, par ordre d'hypocrisie croissante : Milon, Catilina, Clodius, Jules César et surtout Auguste, avec sa fameuse clémence.


Le harceleur ne se contente pas de la domination implicite traditionnelle. Il donne libre cours à un désir sadique de faire mal et de détruire. Le harceleur peut être du côté des dominants ou dans le camp des dominés. Harceler n'est pas la spécialité d'un camp. Le harcèlement ne s'identifie pas à la domination, mais à la violence. Celle-ci n'est pas le monopole des dominants. Pour faire bref : la domination, c'est la violence et l'ordre ; le harcèlement, c'est la violence et le désordre. Autre formulation : le harcèlement contribue à la dissémination de la violence dans toute la société et ce désordre, quand il atteint au chaos, fait naître le besoin d'un ordre par la domination. Le harcèlement est ainsi lié à la motivation de la hiérarchie. Avant de franchir le Rubicon et de prendre le pouvoir à Rome, Jules César a chargé Catilina puis Clodius d'instaurer dans l'Urbs un désordre optimal. Le harcèlement cherche à établir ou à rétablir une emprise, une forme de pouvoir. Les périodes de changement dans le type du pouvoir, les époques de passage du pouvoir traditionnel au pouvoir pervers, sont restées célèbres par leurs proscriptions (dont durent victimes Cicéron et Caton), par leur guillotine ou par l'horreur des camps (Adolf Hitler, Staline, Mao, Pol Pot, etc.). Mais, dans l'alternance de la domination perverse et de la domination traditionnelle, le changement de qualificatif correspond au passage d'un seuil quantitatif. Même dans une société pacifiée, il existe des formes traditionnelles de dévalorisation et de harcèlement. Il faut interroger cette bévue qui nous masque la présence d'une forme (perversion) dans l'autre (tradition).


Après d'autres périodes de transformation, notre époque montre une tolérance à la perversion qui confine parfois à la fascination. Dans le même temps, comme pour le viol et pour la pédophilie (ou plutôt la pédomanie du pédomane), le harcèlement est de moins en moins supporté par ses victimes. Il ne leur paraît pas normal. Il ne leur semble pas mérité par une faute ou par un défaut. La pulsion est la même que dans l'Antiquité. Mais sa justification ne trouve plus les arguments du passé. Elle rencontre des arguments contraires. Le harcèlement est de moins en moins passé sous silence. Il est de plus en plus dénoncé. Cela aussi est une relative nouveauté.


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o 2. Découverte ou dévoilement ?


Déjà, dans le nord de l'Europe, Heinz Leyman avait attiré l'attention sur le mobbing (Suède, 1993). Son ouvrage a été traduit en français sous le titre "Mobbing. La persécution au travail" (Heinz Leyman, Édition du Seuil, Paris, 1996). Comme le bizutage, la harcèlement est un moyen d'imposer des normes grégaires. Dans l'idéologie de la lutte des classes, en cas de mobilisation ouvrière ou salariale, le harcèlement des individus réfractaires est mis au service du harcèlement (sens guerrier) de la direction. En dehors des périodes de lutte sociale, il existe toujours des harcèlements locaux, diffus, indépendants les uns des autres. Ils sont des expressions de la pulsion de mort. Ce qui est relativement nouveau, dans l'entreprise, c'est la récupération d'un harcèlement ancien au profit d'un impératif de dégraissage des effectifs. Des petits heurts locaux, des frictions jadis anodines et passagères, déclenchent ainsi des processus pervers plus graves, quasi-institutionnels. Dûment attisés, ils deviennent prétextes à licenciement. Il y a une plus grande interaction des tendances agressives. L'agressivité des dominés ne s'agrège pas pour se focaliser contre les dominants, comme cela se passe dans les périodes révolutionnaires. L'agressivité des dominés accentue les divisions entre eux. Elle renforce les effets de la domination. Cette conjonction malsaine modifie les méthodes de gestion des ressources humaines. Dans beaucoup de directions du personnel, ou de DRH, les pratiques du licenciement évoluent en conséquence. Par des attitudes de harcèlement, le personnel indique à la direction un maillon faible qui sera sacrifié. Ainsi désigné, le bouc émissaire sera licencié sans remous.


Signe des temps, cette pratique de l'exclusion est devenue la règle de nombreuses émissions télévisées, dites de divertissement. C'est dire que les loisirs, comme la littérature, participent aux transformations, bonnes ou mauvaises, de la société. Il existe ainsi un processus de contagion puis de naturalisation de la perversion. De manière générale, le passage par le monde de l'amour, dans la sphère de la famille ou de l'intimité, assure une véritable naturalisation d'un comportement ou d'une attitude venue du monde du travail ou du monde de la guerre. Une fois naturalisé, le processus pervers devient normal, invisible. Nous l'avons vu pour la division sexuelle du travail.


L'Histoire fournit de nombreux exemples de cette naturalisation. Octave est parvenu au pouvoir par des massacres militaires, par des sacrifices humains et par la terreur. Devenu préfet des mœurs, Auguste fait la morale à Julie et exile momentanément sa fille. Sa mémoire est courte, quand il s'agit de ses propres actions. C'est par l'exploitation d'un fait de guerre qu'Octavien obtient du patricien Tiberius Claudius Nero qu'il divorce de sa femme, Livia Drusilla. C'est ainsi que Livie est devenue la troisième et dernière épouse d'Auguste. L'Histoire, officielle et mythique, semble avoir retenu la clémence d'Auguste, pour mieux oublier les hécatombes de Pérouse. L'enjeu historique, de ce travestissement des faits, est la justification de l'hérédité du pouvoir. Pour la monarchie française, la grandeur d'Auguste c'est la restauration d'un pouvoir royal. Ce dernier était honni par Rome, depuis le viol de Lucrèce. En conséquence, tous les crimes d'Octave sont blanchis, du seul fait qu'il était le fils adoptif de Jules César. On oublie un seul détail : Rome n'était pas plus l'héritage reçu par Octave que la France ne sera celui de Louis-Napoléon Bonaparte !


C'est dire que les mêmes pratiques violentes sont tantôt dénoncées comme perverses, tantôt perçues comme routinières, traditionnelles. Il en va du harcèlement comme du bizutage, du viol et du coup d'Etat. Parfois le voile se lève ; parfois un couvercle de bronze ou de marbre les recouvrent, au nom de la tradition. Il nous faudra revenir sur le cycle formé par le harcèlement, la hiérarchie et la tradition. Il est important d'interroger les relations de ce cycle avec le modèle de l'équilibre et avec la crise du Degree.


Cette récente levée du voile (Heinz Leyman, Marie-France Hirigoyen) n'est donc pas la première dans l'Histoire. Le processus de dévoilement du mobbing entraîne un mouvement de recherche sur sa nature, suivi d'une découverte partielle de ses causes.


Dans son fonctionnement, le harcèlement moral au travail est un refus de la distance salutaire. Le harcèlement est le contraire du respect. Le harceleur ignore l'attitude mentale qui reconnaît à chacun un corps propre (habeas corpus) et le droit à une vie privée (intime). Contrairement à la Rome antique, dans notre régime du salariat, le fait qu'un individu soit "membre" ou "appartienne à" une entreprise ne fait pas de lui un esclave. L'entreprise, publique ou privée, se donne comme objectif de produire et de mettre à disposition des biens ou des services. L'efficacité économique et la rentabilité sont proposées comme les critères de la justification ou de la condamnation de toute pratique. Les règles de la bonne conduite au travail ne devraient concerner que les buts et les moyens de la tâche collective. Il devrait en découler une salutaire indifférence à l'égard des autres aspects de la vie de chaque personne. Or, le harcèlement moral empiète sur la vie privée, sur les qualités physiques ou morales du harcelé. De la même manière, le harcèlement sexuel opère une confusion systématique des domaines. Sans faire référence à la religion, on peut, à propos de chaque individu, faire une distinction entre sacré et profane. Le harcèlement transgresse cette distinction. Il ne respecte rien. Il va sans dire que le harcèlement moral au travail ne peut trouver de justification dans la recherche de la productivité. Le harcèlement est alors le révélateur de ce que la vie collective au travail ne se joue pas sur le seul plan du projet d'entreprise. Comme dans toute organisation fusionnelle (groupe fusionnel, famille psychotique, parti politique, secte, groupuscule), le harcèlement gère l'angoisse du groupe. Il opère par la production et par l'exclusion d'un bouc émissaire.


En France, le thème du "harcèlement moral" a été mis sur la place publique par l'ouvrage éponyme de Marie-France Hirigoyen. Dans le but de révéler un malaise, dont les médias ne parlaient pas, la victimologue a fait connaître l'expérience de ses patients. Sa clientèle combine le monde du travail et le monde de l'amour. Son premier livre fait de même. Marie-France Hirigoyen compare le harcèlement dans le couple et le harcèlement au travail. Dans les deux cas, elle analyse l'emprise et la persécution, exercées par un pervers narcissique. Cette méthode est à la fois un avantage et un inconvénient. La théorie du pervers narcissique est au cœur de ce premier ouvrage. Le succès de ce livre a été immense, inespéré. Le secret étant sorti de sous le boisseau, Marie-France Irigoyen a participé à de nombreuses commissions d'études. En outre, elle a reçu un très abondant courrier, venu de personnes soumises à de tels harcèlements. Cette masse d'information lui a permis de rédiger un second ouvrage, intitulé "Malaise dans le travail". Par ce titre, la psychanalyste se souvient du "Malaise dans la Culture" de Sigmund Freud. Contrairement au premier ouvrage, "Malaise dans le travail" est uniquement consacré au harcèlement dans le travail. Cette spécialisation est utile. En effet, la personnalité narcissique ou le pervers narcissique opère le même type de destruction dans son couple et sur le lieu de son travail. Mais l'emprise qui s'impose aux harcelés n'est pas la même dans les deux cas. Dans le couple, la victime est seule face au pervers. Dans l'entreprise, le harcèlement moral révèle un fonctionnement social interne dont la théorie économique et celles du management ne rendent pas compte.


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o 3. Le Pervers narcissique.


Dans un couple, le harceleur et le harcelé (assez souvent la femme) se sont choisis. Ils ont décidé de vivre ensemble. L'espoir du harcelé est souvent de guérir le harceleur. Ce vain espoir est certainement l'illusion qui lui fait rester dans la relation. C'est ainsi que le harcelé continue à subir les attaques qui le détruisent.


Dans une entreprise, on choisit : un travail rémunérateur pour être autonome sur le marché de la consommation, un champ d'activités pour satisfaire son besoin d'action, un lieu pour mettre en valeur ses compétences. On ne choisit pas de vivre avec un harceleur. La théorie de l'emprise est donc radicalement différente dans le monde de l'amour et dans le monde du travail. En outre, l'emploi du terme <harcèlement> implique le refus d'y importer le concept trompeur, inadapté, de relation sadomasochiste. La perversion des relations humaines sur le lieu de travail est aussi analysée par Christophe Dejours dans "Souffrance en France. La banalisation de l'injustice sociale" (Seuil, L'Histoire immédiate, 1998).


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Le thème est développé dans les définitions suivantes :


o Chair individuelle

o Emprise

o Froide réserve

o Guérir le harceleur

o Habeas Corpus

o Harcèlement sexuel

o Harcèlements

o Indifférence

o Le Rire

o Limites de la psychanalyse

o Mobbing

o Pervers narcissique

o Répondre à la haine par la haine

o Séduction perverse

o Stratégie basse

o Vertu thérapeutique du rire

o Violence au travail

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o 4. Les Sanctions antisociales.


En 2008, un article de la revue "Science" fait état des recherches de Simon Gaechter, de Benedikt Herrmann, de l'université de Nottingham, et de Christian Thoni de l'université de St Gallen. Par des jeux de coopération, maintenant classiques dans la Théorie des Jeux, ils ont étudié le comportement de volontaires choisis parmi les habitants de 16 villes réparties dans le monde. L'intérêt nouveau de leurs travaux vient de ce qu'ils ont introduit, pour les acteurs, la possibilité de sanctions antisociales, autrement dit la possibilité de pratiquer impunément, dans un jeu de coopération, une stratégie basse, ce qui revient à un sabotage de l'intérêt collectif officiel. Ils ont redécouvert théoriquement ce que "Le Maillon Faible" avait mis en évidence de façon empirique et spectaculaire. C'est probablement dans cette voie qu'il faut attendre des découvertes dans les années à venir.


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o Conclusion (provisoire)


Le harcèlement moral au travail ne peut pas être limité à un raté d'un fonctionnement normal de l'entreprise. Dans l'Histoire, le travail a trop longtemps connoté la torture (le mot vient de tripalium) pour qu'il n'y ait pas de lien profond entre eux. Il n'en irait pas de même pour une activité libre. Le harcèlement moral semble être la forme exacerbée d'un fantasme fusionnel (la fantasme du même) pour lequel la moindre différence devient, tout à coup, insupportable au corps social. Le harcèlement moral est alors une forme de division du travail, affectant la souffrance à l'un des membres du groupe d'appartenance. Un plaisir pervers se joue dans la vision de cette souffrance. Ces rites de la cruauté ne sont pas nouveau. Dans sa définition de l'attaque perverse, Marie-France Hirogoyen montre bien que l'individu pervers évite tout à la fois la culpabilité et la souffrance.

La symétrie du bizutage et du mobbing nous incitent à mieux comprendre les fonctions du conformisme et de la fabrication ou plutôt de la fication terroriste de la norme. D'autant que les réflexions sur le management poussent plus à l'exploration de la logique de la diversité qu'à la perpétuation de la logique du même. Enfin, même s'il n'est pas le seul harcèlement, le harcèlement sexuel oblige à mieux comprendre les raisons de la domination masculine.


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o Auteur


Hubert Houdoy


Créé le 22 Décembre 1998

Modifié, le 11 Juin 1999, le 22 Octobre 2002, le 8 décembre 2003, le 20 octobre 2004, le 15 mai 2008


o Suite


Domination Masculine. "La Domination Masculine et la Domination" (domimasc.htm)


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o Bibliographie


Le Harcèlement Moral

La violence perverse au quotidien

Marie-France Hirogoyen

Syros

Paris, 1998

213 pages


Malaise dans le travail

Harcèlement moral : Démêler le vrai du faux

Marie-France Hirigoyen

La Découverte et Syros

Paris, 2001


Bizutages

Dirigé par Marie-Odile Dupé

Collection Panoramiques

Éditions Corlet

236 pages


Souffrance en France

La banalisation de l'injustice sociale

Christophe Dejours

Seuil, L'Histoire immédiate,

Paris, 1998


Le Honteux et le Sacré

Grammaire de l'érotisme divin

Odon Vallet

Albin Michel

Paris, 1998

160 pages


Mobbing

La persécution au travail

Heinz Leyman

Édition du Seuil

Paris, 1996


Les Hommes violents

Daniel Welzer-Lang

Lierre et Coudrier Editeur

Paris, 1991


Soumission à l'autorité

Stanley Milgram

Calmann-Lévy

Paris, 1974


Il n'est jamais trop tard pour... Cesser d'être une victime

Gérard Lopez et Arianne Casanova

Editions La Martinière, 2001


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o Textes complémentaires


chanemot : Le Chant des Émotions.


verbchai : Le verbe se fait chair.


amoumeme : L'Amour du Même.


hainautr : La Haine de l'Autre.


paranorm : Paradoxe de la Normalité.


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o Définitions


Nota Bene. Les mots en gras sont tous définis sur le cédérom encyclopédique.



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Mise à jour des liens hypertextuels : Jeudi 19 Juin 2008




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